J'ai besoin d'intimité. Non pas parce que mes actions sont douteuses, mais parce que votre jugement et vos intentions le sont.
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L’avantage principal se trouve dans le fait de se voir proposer un flux alors qu’on ne le recherchait pas nécessairement. Un ou une utilisatrice qui ne connait pas l’existence des flux RSS peut ainsi se mettre à les utiliser de façon naturelle, sans qu’on ait à lui en expliquer les aspects techniques. Si vous disposez d’un lien direct vers un flux, vous pouvez bien entendu le suivre en le copiant dans le même champ de saisie.
Seconde particularité : les flux sont des collections publiques. Cela implique qu’ils disposent d’une URL à partager autour de vous. Par exemple, il m’est désormais possible de vous partager le flux de ce carnet facilement. C’est une nouvelle porte d’entrée pour les personnes à qui je parle de flux RSS ; mes propos sont illustrés en un clic.
Pour résumer, les tests oncogénétiques sont des tests qui permettent d'identifier la présence ou non de mutations sur les gènes des cellules tumorales ou sur ceux des cellules de l'individu.
Cela permet ensuite de déterminer s'il est judicieux de prescrire des traitements dont l'efficacité est démontrée contre le type tumoral identifié.
Cela évite de prescrire à tort des médicaments dont on sait qu'ils ne seront pas efficaces. Tout le monde est gagnant :
Le problème est le remboursement de ces tests. C'est l'établissement (public ou privé) dans lequel le médecin prescrit qui doit faire l'avance de la dépense (le coût par test est entre 300 et 1300€). Et il n'est remboursé au mieux, qu'un an après, et sur une enveloppe fixe nationale. Ce qui fait que plus il y a de tests demandés, moins le remboursement est important (à peine 50% en 2020).
Cela équivaut à réaliser un travail qu'on vous impose, à payer pour le réaliser et n'avoir qu'un remboursement partiel de la somme que vous avez avancée un an ou un an et demi après. Pour les établissements de santé, quels qu'ils soient, c'est intenables.
Une galerie de photo statique en python
La sauvegarde des données n'est pas si simple et nécessite du temps et un budget relativement conséquent si on veux faire les choses bien.
Je fais des sauvegardes mais pas de la façon dont je voudrais les faire dans l'idéal car je manque de temps et d'argent pour le faire.
Un des disques que j'utilise montre des signes de faiblesses et il faudrait le changer mais je ne peux pas me le permettre actuellement. Et sans cela, je n'aurai pas le temps de le changer (j'ai de moins en moins l'envie de rester tard devant mon pc ou de passer mon week-end à faire de l'informatique).
Pour ce qui est de l'éducation des gens, ce n'est pas à OVH que revient la tâche (sans jeux de mots). S'il n'y avait que ça pour rendre les gens complètement ignares, ça se saurait...
On veut calculer la somme des chiffres entrés dans la colonne $F
.
Le premier chiffre saisi dans cette colonne est à la ligne 5.
Dans une cellule, par exemple $XEL$4
(la cellule située sur la dernière colonne du tableau à la 4ème ligne), on entre la formule suivante :
=NB($F:$F)+4
NB
permet de calculer le nombre de cellules (dans une plage de cellules) qui contiennent des nombres. On y ajoute 4 car le premier nombre de la colonne $F
est à la ligne 5 (c'est à dire la ligne contenant le premier nombre, moins 1).
Ensuite, dans la case où l'on souhaite obtenir le résultat, on met la formule suivante :
=SOMME(INDIRECT("$F5:$F"&$XEL$4))
Excel va calculer la somme depuis la cellule $F5
jusqu'à la cellule de la colonne $F
dont l'indice de ligne est donné par le résultat situé dans $XEL$4
.
Perso, je suis redirigé systématiquement vers l'accueil de yout-ub.com sans avoir pu regarder la vidéo.
Sur 30 ans, 100 000 000 comme le propose Timo, ça fait 277 777 € par mois... Ça laisse de quoi vivre décemment.
Dans le même temps, certains crèvent de pauvreté.
Oubliez Framaforms, faites de la place à Yakforms !
Pour celles et ceux qui se posent la question, elle est tombée au nord des Maldives dans l'océan indien. Ouf !
Lat 22.2, Lon 50.0
La formule =DECALER($A$5;0;0;NBVAL($A:$A)-1;1)
, à adapter selon les données, permet de retourner dynamiquement le contenu d'une plage de cellules dans une liste déroulante :
► la fonction DECALER
renvoie une référence à une plage de cellules qui contiennent la liste à afficher ;
► $A$5
fait référence à la première cellule de la liste source ;
► laisser 0;0;
pour n'appliquer aucun décalage horizontal ou vertical ;
► $A:$A
correspond à la colonne (A) où se trouve la liste source ;
► NBVAL
compte le nombre de cellules non vides dans cette colonne ;
► valeur -1
: on enlève 1 au nombre renvoyé par NBVAL si l'une des cellules contient une entête de liste, dont il ne faut pas tenir compte ;
► le dernier 1
correspond au nombre de colonnes de la référence renvoyée par DÉCALER (laisser la valeur 1).
On peut associer cette formule à un nom de plage que l'on utilisera ensuite pour créer une liste déroulante.
Pour ajouter un nom de plage, aller dans l'onglet Formules
puis Gestionnaire de noms
.
Dans la fenêtre qui s'ouvre, donner un nom à la plage de cellules dont souhaite voir afficher les valeurs dans la liste déroulante.
Dans la zone Fait référence à
, copier-coller la formule vue plus haut, c'est-à-dire =DECALER($A$5;0;0;NBVAL($A:$A)-1;1)
Valider l'enregistrement en cliquant sur le bouton OK.
Sélectionner la cellule où l'on souhaite voir s'afficher la liste déroulante. Dans l'onglet Données
, sélectionner Validation des données
.
Dans la fenêtre qui s'ouvre, placer le curseur dans le champ source. S'il y a déjà du texte, il faut le supprimer pour ne laisser que le signe =
.
Appuyer sur la touche F3
. Une deuxième fenêtre s'ouvre avec la liste des noms de plages précédemment enregistrés. Sélectionner la plage qui nous intéresse.
Maintenant, si la plage de cellules est modifiée (ajout ou suppression de données), la liste déroulante se mettra automatiquement à jour.
Pour résumé, éteignez la télé.
LibreCAD (anciennement CADuntu) est un logiciel de dessin assisté par ordinateur en deux dimensions (2D). Il est basé sur l'édition communautaire (et libre) de QCad.
Ce logiciel permet de modéliser des dessins techniques dans les domaines de la mécanique, de l'architecture, etc. Il permet entre autres l'utilisation de calques ainsi que de groupes de différents éléments, la création de formes complexes et de chanfreins et possède un système d'accroche complet.
Son format natif est le format DXF (R12/2007) inventé par Autodesk (éditeur d'AutoCAD)1. Concernant le format DWG, il est accessible de manière expérimentale en lecture et l'écriture est en cours d’implémentation.
1) DXF dans sa variante ASCII ; le DXF binaire n'est pas pris en charge par LibreCAD
QCad : Manuel de référence de l'utilisateur
Manuel utilisateur de LibreCad
Il m'en manque 4...
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Timo vient de publier une version mise à jour d'oText, son moteur de blog, flux rss, échange de fichiers, agenda, prise de notes...
Ça date de 2008. Les "bienfaits" du téléphone portable.
Et rien n'a changé, au contraire...
L’actualité du logiciel libre et des sujets voisins (DIY, Open Hardware, Open Data, les Communs, etc.), sur un site francophone contributif géré par une équipe bénévole par et pour des libristes enthousiastes