J'ai besoin d'intimité. Non pas parce que mes actions sont douteuses, mais parce que votre jugement et vos intentions le sont.
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Article 12.
Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.
Je ne sais pas pourquoi mais quelque chose me dit que certains s'en tapent le coquillard de cet article...
Quand on veut tuer son chien, on l'accuse d'avoir la rage...
Souriez, vous êtes fliqués...
Je ne savais pas que les prisonniers devaient se payer leur bracelet...
Je viens de recevoir mon échéancier annuel pour payer mon assurance. Et que vois-je !?
Près de 12 euros de taxe attentat. Vous lisez bien. 12 euros parce que la France a subit des attentats.
Si on ajoute à cela les lois liberticides qui sont passées récemment, on se demande à qui profite vraiment le crime...
Un pas de plus dans le piétinement de la vie privée. Et les médecins trouvent ça génial.
Encore de l'informatique digitale, relative au doigt qu'on nous met dans le cul...
Les inscriptions sont ouvertes. Le projet avance !!!
Ces dernières années, plusieurs évolutions importantes ont donné de nouvelles capacités sans précédent à la surveillance omniprésente par les entreprises. Cela comprend l’augmentation des médias sociaux et des appareils en réseau, le pistage et la mise en relation en temps réel de flux de données comportementales, le rapprochement des données en ligne et hors ligne, et la consolidation des données commerciales et de gestion des risques. L’envahissant pistage et profilage numériques, mélangé à la personnalisation et aux tests, ne sont pas seulement utilisés pour surveiller, mais aussi pour influencer systématiquement le comportement des gens. Quand les entreprises utilisent les données sur les situations du quotidien pour prendre des décisions parfois triviales, parfois conséquente sur les gens, cela peut conduire à des discriminations, et renforcer voire aggraver des inégalités existantes.
Malgré leur omniprésence, seul le haut de l’iceberg des données et des activités de profilage est visible pour les particuliers. La plupart d’entre elles restent opaques et à peine compréhensible par la majorité des gens. Dans le même temps, les gens ont de moins en moins de solutions pour résister au pouvoir de cet ecosystème de données ; quitter le pistage et le profilage envahissant, est devenu synonyme de quitter la vie moderne. Bien que les responsables des entreprises affirment que la vie privée est morte (tout en prenant soin de préserver leur propre vie privée), Mark Andrejevic suggère que les gens perçoivent en fait l’asymétrie du pouvoir dans le monde numérique actuel, mais se sentent « frustrés par un sentiment d’impuissance face à une collecte et à une exploitation de données de plus en plus sophistiquées et exhaustives. »
Au regard de cela, ce rapport se concentre sur le fonctionnement interne et les pratiques en vigueur dans l’actuelle industrie des données personnelles. Bien que l’image soit devenue plus nette, de larges portions du système restent encore dans le noir. Renforcer la transparence sur le traitement des données par les entreprises reste un prérequis indispensable pour résoudre le problème de l’asymétrie entre les entreprises de données et les individus. Avec un peu de chance, les résultats de ce rapport encourageront des travaux ultérieurs de la part de journalistes, d’universitaires, et d’autres personnes concernés par les libertés civiles, la protection des données et celle des consommateurs ; et dans l’idéal des travaux des législateurs et des entreprises elles-mêmes.
En 1999, Lawrence Lessig, avait bien prédit que, laissé à lui-même, le cyberespace, deviendrait un parfait outil de contrôle façonné principalement par la « main invisible » du marché. Il avait dit qu’il était possible de « construire, concevoir, ou programmer le cyberespace pour protéger les valeurs que nous croyons fondamentales, ou alors de construire, concevoir, ou programmer le cyberespace pour permettre à toutes ces valeurs de disparaître. » De nos jours, la deuxième option est presque devenue réalité au vu des milliards de dollars investis dans le capital-risque pour financer des modèles économiques s’appuyant sur une exploitation massive et sans scrupule des données. L’insuffisance de régulation sur la vie privée aux USA et l’absence de son application en Europe ont réellement gêné l’émergence d’autres modèles d’innovation numérique, qui seraient fait de pratiques, de technologies, de modèles économiques qui protègent la liberté, la démocratie, la justice sociale et la dignité humaine.
À un niveau plus global, la législation sur la protection des données ne pourra pas, à elle seule, atténuer les conséquences qu’un monde « conduit par les données » a sur les individus et la société que ce soit aux USA ou en Europe. Bien que le consentement et le choix soient des principes cruciaux pour résoudre les problèmes les plus urgents liés à la collecte massive de données, ils peuvent également mener à une illusion de volontarisme. En plus d’instruments de régulation supplémentaires sur la non-discrimination, la protection du consommateur, les règles de concurrence, il faudra en général un effort collectif important pour donner une vision positive d’une future société de l’information. Sans quoi, on pourrait se retrouver bientôt dans une société avec un envahissant contrôle social numérique, dans la laquelle la vie privée deviendrait, si elle existe encore, un luxe pour les riches. Tous les éléments en sont déjà en place.
Hallucinant...
Oui mais non.
Avant tout, que les choses soient claires : je suis à vélo tous les jours (pour prendre le train et aller au boulot, soit environ 10 km par jour tous les jours). Et je n'utilise ma voiture que sur de grandes distances, rarement en ville.
Ceci étant dit, je ne peux pas cautionner cette désinformation. Certes, le gars s'est garé en double file comme un connard mais ce qu'il faut se poser comme question c'est pourquoi l'a-t-il fait et pourquoi ça bouchonne ?
Plusieurs éléments de réponse :
Tout ça est d'une grande hypocrisie sans nom : on fait tout pour que les gens ne prennent pas leur voiture (en faisant augmenter artificiellement le nombre de bouchons) mais en même temps, cela représente une telle manne financière qu'on veut malgré tout que l'on continue de consommer de l'automobile (grands constructeurs, pétroliers, gouvernement...).
De plus, les tarifs en ville devenant de plus en plus exorbitants, il n'est quasiment plus possible pour des salaires moyens de se loger près de son lieu de travail. Et la seule alternative pour y aller, c'est la voiture. Tous le monde n'est pas capable de se taper 40 bornes aller 40 bornes retour 5 jours sur 7 pour aller bosser à vélo (et quand je dis 40 bornes c'est parfois plus).
Ajoutez à cela la politique de casse de la SNCF (merci l'Europe) qui se focalise uniquement sur les lignes "rentables" et abandonne les lignes TER qui fait que prendre le train pour se rendre à son travail est un vrai sport en soi qui incite les gens à reprendre leur voiture... ou les bus à prix cassés qui engorgent encore un peu plus les routes. Je ne parle pas non plus de la destruction pure et simple du service de fret au profit du tout camion.
Rien n'est fait pour changer de mode de déplacement :
Bref, tout ça pour dire que l'automobiliste à bon dos et qu'il représente un bon bouc émissaire facilement attaquable (je vous rappelle au passage, sauf deux ou trois privilégiés, que l'automobiliste en question, c'est vous et moi).
Rien ne changera tant qu'il n'y aura pas une politique claire sans démagogie ni conflit d'intérêt.
C'est moi ou j'entends des bruits de bottes ???
Dans un contexte où le gouvernement annonce une baisse « sans précédents » de la dépense publique au nom du « sérieux budgétaire », il faut également craindre que les compensations apportées par l’Etat soient revues à la baisse. Soit, à court terme, une mise en danger de dispositifs d’assurance sociale qui ont déjà été considérablement laminés au cours des dernières années et, sous couvert de gestion rigoureuse et de créations d’emplois, une précarité accrue des salarié-es, chômeur-euses et retraité-es. C’est le démantèlement des dispositifs de solidarité, au profit des systèmes d’assurances privées, qui se profile.
Faut vraiment être con pour acheter ça...
Et on ne parle même pas du coup écologique de l'extraction de la matière première des batteries (le lithium) que l'on ne sait pas recyclé, et qui dévaste des pays entiers.
Mais, on s'en fout, c'pas chez nous...
Ou comment dépouiller un bien public et dire qu'il n'est plus rentable pour mieux faire passer la pilule de la libéralisation.
Via Bronco.
Comment peut-on cautionner ça bordel ?! Et comment peut-on en avoir ne serait-ce que l'idée ? Les développeurs de ce genre de logiciels ne se posent aucune question quand ils les développent ? Ils pensent à leurs enfants, à leur conjoint, leurs parents, leurs amis, la société en général ?
Quant aux politiques, on ne se pose même plus la question...