J'ai besoin d'intimité. Non pas parce que mes actions sont douteuses, mais parce que votre jugement et vos intentions le sont.
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Ce qui prouve bien que l’énoncé de ces chiffres quotidiennement ne sert à rien sauf à faire peur. Un compte-rendu mensuel serait bien plus pertinent pour la population générale. Mais il faut conserver cet état de peur et ces chiffres font bien leur office dans ce cas.
Ce qui est sûr, c’est que l’État n’a pas consulté la communauté scientifique pour qu’elle fournisse un groupe de gens qui la représenterait, et, par conséquent, à qui les scientifiques pourraient s’adresser. Il devrait y avoir un représentant des généticiens, un représentant des virologues, un des épidémiologues, des sociologues, etc. De cette façon, un généticien pourrait poser ses questions à son représentant en question. On sait faire ces choses-là, on l’a déjà fait. En 2004, pour organiser les assises de la recherche, un comité qui centralisait toutes les réflexions qui venaient de comités scientifiques, de l’ensemble des universités, de tous les laboratoires de recherches français. Si on ne le fait pas, à mon avis, c’est parce qu’on n’en a pas eu l’idée, mais aussi parce que, au fond, c’est tellement plus simple de choisir des copains.
"Toutes ces mesures ne sont prises que dans un seul but, c'est de faire en sorte de pas submerger le système de santé. Aujourd'hui, on paye un système de santé qui s'est appauvri."
"C'est quand même assez incroyable que huit mois après la crise, on soit dans un système où on n'a pas augmenté le nombre de lits de réanimation ou d'hospitalisations, on l'a même réduit. Paradoxalement, au mois d'octobre, nous risquons d'avoir moins de moyens hospitaliers à la disposition des malades du Covid qu'au mois de mars"
Un bon résumé de la situation, par Le Chat...
300 personnes. Whou ! C'est énorme !!! Sur une population de 65 millions d'individus, ça fait... 0.00046%
Si l'on prend l'ensemble des personnes décédées (18 542 + 10 0000), cela représente 0.044% de la population française.
Si l'on compare aux chiffres de la cigarette (73 000 personnes chaque année) ou de l'alcool (41 000 décès par an), ça laisse rêveur.
Pourtant, tout le pays a été mis en pause. On a restreint nos libertés. On nous oblige à porter un masque. À se regarder le nombril en permanence et celui de son voisin avec méfiance.
L'autre devient un danger par défaut.
Et je ne parle pas des conséquences financières désastreuses sur les entreprises et une grande partie des ménages.
Il aurait peut être été plus judicieux de ne restreindre que les vieux non ?
Mais c'est pratique. Cela permet de mettre fin aux revendications, de rogner les acquis sociaux (temps de travail, retraite, baisse des salaires...) , de tenter de surveiller la population à l'insu de son plein gré et de l'empêcher de se réunir pour manifester (c'est pour votre sécuritay), de faire entrer un peu plus le privé dans les secteurs publics (école, médecine...).
Sans compter l'état d'urgence maintenu.
Oui, c'est très complotiste comme raisonnement, mais il y a quand même des questions à se poser.
Maintenant que le mal est fait, que le doute s'est insinué partout, la chloroquine aura beaucoup de mal à être utilisée si jamais elle s'avère efficace.
Il suffit de regarder comment est financée Surgisphere pour trouver le coupable...
Après plusieurs semaines de teasing, encore plus fort que la saison 3 de Dynastie, l’Assemblée nationale a enfin débattu de l’application mobile Stop Covid. Retour sur ce débat.
Le moyen le plus simple est de ne pas télécharger cette application qui ne servira à rien mais qui va coûter un "fric de dingue".
Oui, j'ai lu la libre veille de Framablog...
Malheureusement vrai...
Roooooh, zut. Ça va encore retarder le déploiement des tests. C'est ballot...
Belle initiative d'Heliox. Je découvre ça un peu tard mais ça n'empêche que c'est super.
Sur Twitter, une consœur a testé le message de prévention suivant qu’elle a affiché en salle d’attente : «La fin du confinement ne signifie pas que la pandémie est terminée. Elle signifie simplement qu’il y a maintenant de la place pour vous en réanimation.» Et quelqu’un a rajouté : «Pour l’instant.»
On est totalement libre... de choisir dans quelle prison on va.
Exactement ça...
Excellent !!!
Les pseudonymes ne sont pas une garantie.
Ingénieux. À diffuser, un masque de protection pour pas cher.