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En fait, c'est parce que Micron est complètement obnubilé par l’œuvre de Magritte : il ne sait plus distingué une chaise d'une pipe...
Aujourd'hui, on ne dit plus déception ou être déçu ("Grand débat national : «Le risque d'être déçu est important», selon Edouard Philippe") on dit "Grand débat national : «Le risque déceptif est important», selon Edouard Philippe".
C'est bô la novlangue. Ça permet le remplissage pardon, la complétion (ou la complétude) du vide...
Tout ce que tu décris est normal mais ça ne durera pas. C'est le miroir aux alouettes.
Le but, non avoué est de supprimer la masse salariale et de déporter les coûts sur l'utilisateur (notion de travail invisible ou digital labor, bien expliquée dans l'excellent livre de S. Bortzmeyer : Cyberstructure) . C'est à toi de payer pour ton ordinateur, ta connexion internet, ton électricité. Pour eux, c'est tout bénef : quelques webdev sous-payés et le tour est joué.
Ensuite, pour te faire quitter ta banque physique, il suffit de plomber son fonctionnement. "Quand on veut tuer son chien, on l'accuse d'avoir la rage."
Ils ont fait ça plein de fois (quand je dis "Ils", je veux dire, les dirigeants, état et banques) avec la poste, les fonctionnaires, la sncf, l'hôpital, la sécu, pôle emploi, les agences de voyage...
Une fois que la majorité des gens auront basculé, ils reviendront à leurs anciennes méthodes. Tu seras obligé d'installer leur appli car le site web ne fonctionnera plus, appli qui puisera allégrement dans toutes tes données.
Les frais de fonctionnement réapparaîtront comme par magie, parce qu'on dira que l'infrastructure coûte cher et qu'il faut bien l'entretenir.
Bref, tout ça, c'est juste un peu de vaseline pour nous la mettre un peu plus profond...
"Jusqu'ici tout va bien. Tout va bien, jusqu'ici..."
5 Flics pour frapper 1 manifestant; 1 infirmière pour soigner 32 patients.
À qui la prime ?
Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais (ou mes copains font, ou ceux qui me filent un paquet de blé font)
À voir et à partager massivement pour remettre les pendules à l'heure.
Ça va mal finir...
On le dit dans l'oreillette qu'un retour de bâton se prépare...
Là aussi, pourquoi éduquer la population si c'est pour avoir des gens qui réfléchissent ? C'est vachement plus difficile à gouverner !
On rejette la faute sur les enseignants mais on ne parle pas des réductions drastiques de budget, des licenciements de fonctionnaires, des classes surchargées, des deux parents obligés de travailler pour avoir des conditions de vie à peu près dessentes et qui donc ne peuvent pas suivre la scolarité de leurs enfants de façon optimale.
Alors qu'une plèbe de décérébrés, c'est quand même plus simple à orienter et à manipuler non ?
Là encore, c'est le principe d'une municipalité dans un village et non par les communautés de communes où les décisions sont prises de façon globale et non locale.
Actuellement, les villages sont obligés d'y adhérer mais on leur retire en plus les moyens de fonctionner. Tout ça pour nous dire dans peu de temps que les maires et leurs conseils ne servent plus à rien et qu'il faut des technocrates pour faire le travail à leur place.
Je suis en train de regarder le documentaire de Mélanie Laurent et c'est le passage sur les monnaies locales. En fait, si on réfléchit deux secondes, c'est revenir à l'ancien système des monnaies nationales plutôt que les monnaies partagées. Autrefois, le franc était produit localement par la Banque de France avec un taux zéro. Aujourd'hui et merci Giscard et avant lui Pompidou, qui ont imposé le système actuel qui oblige la création des monnaies par des banques privées (rappelons que Pompidou était un ancien de la banque rodchield - ça vous rappelle quelqu'un ? - ) qui creent une dette artificielle qui appauvrit les peuples (voir la Grèce).
Et si on quittait cette europe du fric pour une vraie Europe des peuples ?
Parce qu'en europe, les gouvernements ne peuvent pas, peut-être ?
Je rappelle juste que toutes les nouvelles voitures depuis pas mal de temps maintenant, sont toutes équipées d'un gps ou d'un moyen de se connecter aux téléphones portables. C'est pas pour nous rendre service...
Coca fait pareil au Brésil. Sauf que là bas, il n'y a pas d'alternative et que pour avoir de l'eau, les habitants sont obligés de l'acheter en bouteille... ou d'acheter du coca.