J'ai besoin d'intimité. Non pas parce que mes actions sont douteuses, mais parce que votre jugement et vos intentions le sont.
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Là où il y a un biais avec le RGPD, c'est que lorsqu'un médecin utilise la plateforme, on n'a pas d'autre choix que de l'utiliser nous aussi, si on veut un rendez-vous avec un médecin en particulier.
Soit on utilise la plateforme, soit on n'a pas de rendez-vous.
Et si l'on arrive à obtenir un rendez-vous (que ce soit par téléphone ou directement en se rendant au cabinet du médecin), nos données seront de toutes façons entrées dans le système de Doctolib.
Donc le consentement libre est par là-même caduque il me semble.
Afin d’accompagner les acteurs du développement web ou applicatif dans la mise en conformité de leurs travaux, la CNIL a élaboré un nouveau guide de bonnes pratiques sous licence libre, qui a vocation à être enrichi par les professionnels.
Vous avez dit "anonymisation" ?
Un dernier alinéa prévient que le responsable du traitement sera « responsable du respect » de ces critères. Mieux, il devra être en mesure de « démontrer » que ceux-ci sont respectés et donc assumer la charge de la preuve.
Tout est dans le titre : le Times dénonce le fait que l'on soit tracé par les GAFAM tout en déposant les cookies de ces fameux GAFAM...
En France, cela ne représente "que" 7 serveurs. C'est peu je trouve comparé au nombres de serveurs en activité.
Mais vu le nombre d'examens par cabinet, c'est sûr que ne serait-ce qu'un seul serveur suffit à exposer quantité de données.
Bonjour,
Votre conseiller (...), après examen de votre fiche de contact, vous propose de rédiger votre (...).
Connectez-vous sur le site du CNAM, pour renseigner ce (...) .
(...)
Pour toute question ou demande d'information, vous pouvez contacter votre conseiller.
Rappel de vos identifiants de connexion au site :
- identifiant : (...)
- mot de passe : (...)
Le service Compétences, expérience et validation
Direction nationale des formations
Le Cnam
Hallucinant !
À la stasis, c'était vraiment des petits joueurs...
Maouis. Sauf que Google, qui a été condamné, continue toujours de ne pas proposer de bouton de refus. Qu'il faut toujours installer un mouchard pour en désactiver un autre.
Et on n'est pas certains que l'amende a bien été payée non plus.
Ok. Maintenant, il faut être sûr qu'ils paieront, car si c'est comme les impôts...
Le design des interfaces des services numériques nous affecte tous, car nous dépendons des choix faits par les designers, de ce qui est représenté, et par extension de ce qui ne l’est pas.
Dès lors qu’il s’agit de traiter et d’exploiter des données qui nous concernent, le design des interfaces et la manière dont celles-ci nous permettent de prendre des décisions en conscience doit être considéré comme un point central.
L’interface est bien devenue le premier objet de médiation entre la loi, les droits et les individus.
Le LINC (Laboratoire d'Innovation Numérique de la CNIL) explore dans ce cahier les usages du design tels qu’ils ont cours aujourd’hui dans la conception des services numériques, afin d’en comprendre les usages positifs comme négatifs pour chacun d’entre nous.
À l’instar des questions juridiques et techniques, le design des interfaces doit désormais être au centre des préoccupations du régulateur, tout comme il est déjà au cœur des relations entre les individus et les fournisseurs de services. C’est l’un des enjeux de ce cahier qui propose également des pistes de recommandation pour permettre aux professionnels d’échanger sur leurs pratiques respectives et de co-construire un design éthique de la vie privée.
La méthode EBIOS Risk Manager adopte une approche de management du risque numérique partant du plus haut niveau (grandes missions de l’objet étudié) pour atteindre progressivement les fonctions métier et techniques, par l’étude des scénarios de risque possibles.
La méthode de référence française EBIOS accompagne les organisations pour identifier et comprendre les risques numériques qui leurs sont propres. Elle permet de déterminer les mesures de sécurité adaptées à la menace et de mettre en place le cadre de suivi et d’amélioration continue à l’issue d’une analyse de risque partagée au plus haut niveau.