J'ai besoin d'intimité. Non pas parce que mes actions sont douteuses, mais parce que votre jugement et vos intentions le sont.
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Had the same problem. Turned out when using the older i2c-bcm2708 module instead of the default i2c-bcm2835 everything works.
Put the following line on/boot/config.txt
:
dtoverlay=i2c-bcm2708
and reboot. Works for me on a 4B.
apt-mark showauto
apt-mark showmanual
Ce tutoriel de instructable.com vous explique comment transformer Raspberry-Pi + Moniteur (ou télévision) en afficheur publicitaire.
Bien pratique pour afficher des informations, calendrier, slideshow, notes pratiques, nouvelles, événements.
Ce qui est intéressant dans ce tutoriel, c'est que X-Windows n'est pas utilisé pour afficher ces images. En utilisant le FrameBuffer, il est possible d'afficher des images et des vidéos sans surcharger le système avec X-Windows.
Ce tuto est tellement bien que nous avons décidé de vous offrir une petite traduction pour faciliter votre lecture.... d'autant que cela rentre parfaitement dans le cadre de notre petit projet maison RasPy où nous avons désinstallé X-serveur de la Raspbian
Il faut bien entendu configurer votre PI pour qu'il démarre en mode console (pas en interface graphique).
Les paquets nécessaires:
fbi
- linux framebuffer imageviewer, le logiciel d'affichage d'image par FrameBuffertvservice
- gestion d'alimentation pour écranomxplayer
- media player fonctionnant en FramBufferLes distributions actuelle de Raspbian inclus déjà omxplayer et tvservice il faudra donc installer fbi
.
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade
sudo apt-get install fbi
Le principe est d'afficher un slideshow depuis le boot du Pi ou via une connexion SSH. Cela signifie qu'il n'y a pas physiquement d'utilisateur connecté sur la console du Raspberry-Pi. Ce détail est important.
sudo fbi -a --noverbose -T 1 image.jpg
L'option -a
indique qu'il faut redimensionner l'image affichée. -T 1
indique que nous allons utiliser la console /dev/tty1
. Et comme personne n'est logué sur le système, le détenteur de tty1 est l'utilisateur root, sudo
est donc nécessaire.
pi@raspberrypi ~ $ ls -l /dev/tty1
crw------- 1 root root 4, 1 Jul 1 02:25 /dev/tty1
À noter que lorsque de fbi
est utilisé en root avec sudo
, il reste actif en tâche de fond.
Il faudra donc arrêter (killer
) le processus avant de pouvoir relancer une autre commande fbi
.
sudo killall fbi
fbi
permet d'afficher des images en slideslow. Quelques paramètres complémentaires se montreront vraiment pratiques.
sudo fbi -a --noverbose -T 1 -t 10 image1.jpg image2.jpg image3.jpg
Les paramètres:
-t 10
permet d'indiquer en temps de pause entre deux images.-1
peut être utiliser pour ne pas boucler le slideshow (ne l'afficher qu'une fois)-u
peut aussi être utiliser pour afficher les images dans un ordre aléatoire.Comme indiqué ci-avant, fbi
restera en tâche de fond une fois l'exécution terminée.
L'affichage d'une vidéo se fait simplement en utilisant le programme omxplayer
.
omxplayer -b video.mp4
Les paramètres:
-b
efface l'écran avant d'afficher la vidéo (sinon le texte est visible derrière la vidéo)--loop
permet d'exécuter la vidéo en boucle continue.--orientation 180
permet de faire une rotation de la vidéo de 180° (90 et 270 également autorisé)Les écrans HDMI s'éteignent volontiers lorsqu'il n'y a pas de signal HDMI. C'est pratique parce que cela peut vous permettre de mettre le moniteur/tv en veille automatiquement depuis le Raspberry-Pi (en coupant le signal HDMI).
Cela permet par exemple d'activer la vidéo de 8h00 à 18h00 et d'arrêter le processus vidéo de 18h00 jusqu'au lendemain sans intervention humaine.
tvservice -o
tvservice -p
Le paramètre:
-o
coupe la sortie HDMI-p
réactive la sortie HDMISelon instructable.com, la réactivation HDMI demande quelques opérations supplémentaires pour réactiver correctement le support FrameBuffer avec soit :
chvt 2; chvt 1
ou
fbset -accel true; fbset -accel false
Voici un petit script qui réactive la sortie HDMI, réactive le framebuffer. Élimine les applications fbi
éventuelle en cours de fonctionnement. Puis démarre un slideshow pour finalement éteint la sortie HDMI.
tvservice -p
fbset -accel true; fbset -accel false
sudo killall fbi
sudo fbi -a --noverbose -T 1 -t 15 -1 image1.jpg image2.jpg image3.jpg image4.jpg
sudo killall fbi
tvservice -o
Si vous disposez d’un NAS (ou de n’importe quel serveur Linux), il est possible de monter sur le Raspberry un espace de stockage hébergé sur serveur et ce de façon totalement transparente, grâce au protocole NFS.
Pour permettre au Raspberry de bénéficier de beaucoup d’espace disque, il est possible de brancher des disques en USB ou d’utiliser un disque réseau. La première solution est la plus simple à mettre en œuvre, mais souffre deux limitations :
L’alternative est donc de créer un espace de stockage sur un serveur et de monter cet espace sur le raspberry, qui le verra alors comme un simple dossier local. Cette technique utilise le protocole NFS (Network File System)
Après vous être connecté en SSH au NAS, commencez par identifier les espaces de stockage physiques (pour éviter de placer le dossier sur le disque système, peu pourvu en espace) :
df -h
Une fois que vous avez identifié un emplacement de taille suffisante, créez le dossier qui servira au NFS (ici NFS_RPi) :
mkdir /DataVolume/NFS_RPi
Si votre serveur est domestique, donc que vous vous souciez peu des droits d’accès, le plus simple est d’appliquer au dossier nouvellement créé toutes les permissions :
chmod 777 /DataVolume/NFS_RPi
Maintenant, il faut définir l’emplacement du dossier à “exporter” via le protocole NFS. Éditez le fichier /etc/exports
:
nano /etc/exports
Dans ce fichier, il faut alors rajouter la ligne suivante :
/DataVolume/NFS_RPi 192.168.1.0/24(fsid=0,rw,no_subtree_check,secure)
La commande 192.168.1.0/24
signifie que “tous les clients du réseau 192.168.1.0” peuvent monter ce répertoire. Il se peut que les adresses IP définies par votre box soient 192.168.1.x, auquel cas il faut remplacer le dernier 1 de ma commande par un 0.
Reste à relancer le serveur NFS :
service nfs-kernel-server reload
Commencez par créer un dossier qui servira de point de montage :
mkdir /home/xbian/NFS
Reste à ajouter ce montage au fstab :
sudo nano /etc/fstab
et ajoutez-y :
192.168.1.41:/DataVolume/NFS_RPi /home/xbian/NFS nfs nouser,atime,auto,rw,dev,exec,suid 0 0
Les options de cette commande sont les suivantes :
192.168.1.41
: adresse IP du serveur, mais vous pouvez tout aussi bien utiliser son nom d’hôte, ou mettre en place un DNS/DataVolume/NFS_RPi
Chemin (sur le serveur) du dossier partagé/home/xbian/NFS
: point de montage NFSnfs
: protocole utiliséSi vous êtes branché en Gigabit (mais surtout pas en Wifi), il peut être intéressant de rajouter les options suivantes au montage, pour gagner en débit :
rsize=16384,wsize=16384
Si vous avez oublié le chemin sur le serveur du dossier partagé, vous pouvez le retrouver facilement avec la commande suivante :
sudo showmount -e <AdresseDuServeur>
Une fois le montage défini dans le fstab, il faut réactualiser les points de montage :
sudo mount -a
Il se peut alors que le terminal vous retourne une erreur disant le montage a échoué (sur le modèle B+ uniquement, semble-t-il). Dans ce cas, il suffit de lancer rpcbind
:
sudo rpcbind start
et de réitérer le montage.
Et voilà ! Sur le raspberry, vous devriez maintenant voir un dossier (ici appelé NFS), dont le contenu est physiquement hébergé sur votre NAS.
rpcbind
au démarrage du RaspberryAjoutez au dossier /init.d/
un script de lancement :
sudo nano /etc/init.d/rpcbind.sh
Dans ce fichier, demandez le lancement de rpcbind
:
#! /bin/bash
rpcbind start
exit 0
Ajoutez le droit d’exécution au script :
sudo chmod +x /etc/init.d/rpcbind.sh
Enfin, mettez à jour la liste des scripts de démarrage :
sudo update-rc.d rpcbind.sh defaults
C’est donc dans la partition root qu’il faut se rendre (elle correspond au point de montage “/” du Raspberry). Là, il faut éditer le fichier suivant : /etc/network/interfaces
. Sous Linux, il faut être en root pour éditer ce fichier :
sudo nano /media/$USER/root/etc/network/interfaces
Là, il vous faut rentrer les lignes suivantes :
allow-hotplug wlan0
auto wlan0
iface wlan0 inet dhcp
wpa-ssid "<SSID du Wifi>"
wpa-psk "<Mot de passe>"
où <SSID du Wifi>
est le nom exact du réseau Wifi et <Mot de passe>
est évidemment le mot de passe associé.
Comme vous pouvez le constater, dans la configuration précédente, le mot de passe Wifi est donné en clair. Si vous estimez que ceci présente un risque vis-à-vis du réseau (par exemple si des personnes peu dignes en confiance ont un accès physique au Rpi), il est possible de chiffrer le mot de passe. Pour ce faire, depuis une machine linux (éventuellement le Raspberry), lancez la commande suivante :
wpa_passphrase "<SSID du Wifi>" "<Mot de passe>"
Et le pied est disponible seul. Intéressant.
À la manière des Frères Poulain
Tout d'abord, il faut afficher le bouton de configuration d'Openbox dans les préférences, grâce au bouton "Main Menu Editor"
Ensuite, dans le manager d'openbox, se rendre dans l'onglet Apparence
et modifier la séquence de lettres présentes dans le formulaire ordre des boutons
.
Pour avoir les boutons à gauche, il suffit de mettre la séquence CIML
. Si on ajoute un D
à la fin, une punaise apparaîtra (à droite dans ce cas là). Ce bouton permet d'afficher une fenêtre sur tous les bureaux (si les bureaux multiples sont activés).
Il suffit de modifier le fichier /etc/xdg/lxsession/LXDF-pi/autostart
en ajoutant la ligne de commande que l'on souhaite lancer.
Si la ligne est précédée de @
, les erreurs dues à la commande correspondante seront ignorées et le script passera à la commande suivante.
Comment créer un lanceur d'application.
Il suffit de créer un fichier en .desktop (avec les options nécessaires dans le fichier) et de le placer dans le dossier /usr/share/applications/
Tout est dans le titre.
Edit : pour supprimer la mise en veille au bout de 10 minutes d'inactivité :
Ouvrir le fichier lightdm.conf
sudo nano /etc/lightdm/lightdm.conf
Chercher la section [SeatDefaults] et repérer la ligne
#xserver-command=X
Enlever le #
qui se trouve en début de ligne pour activer l’envoi de commandes au serveur X et modifier la ligne comme suit :
xserver-command=X -s 0 -dpms
DPMS c’est Display Power Management Signaling = Gestion de l’alimentation du moniteur vidéo. Il faut lui dire qu’on ne veut pas de délai avant extinction du moniteur en cas d’inactivité du serveur X. C’est le rôle du -s 0
, le 0
signifiant qu’on désactive la mise en veille du moniteur.
Astuce trouvée sur Framboise 3.14 : https://www.framboise314.fr/14-trucs-a-connaitre-pour-personnaliser-raspbian-pixel/#Truc_6_8211_Je_veux_changer_le_fond_d8217ecran_du_bureau_de_PIXEL
[Desktop Entry]
Comment=Lock your screen
Name=Lock...
Exec=dm-tool lock %f
Type=Application
Icon=system-lock-screen
Terminal=false
GenericName=Lock your screen
StartupNotify=false
Categories=Settings
This guide describes how to get an Apple Remote (A1294 silver model) to work in OSMC version 2018.08-2 (Kodi 17.6) for Raspberry Pi 3 model B+.
I bought a very cheap TSOP4838 IR receiver on eBay.
The IR receiver pins are (bulge facing you, pins down, from left): 1 - OUT, 2 - GND and 3 - Vs
The Raspberry Pi pins I used are: 01 - 3.3V, 06 - GND and 12 - GPIO18
Connect IR receiver pin 1 to RPi pin 12
Connect IR receiver pin 2 to RPi pin 06
Connect IR receiver pin 3 to RPi pin 01
Now edit the /boot/config.txt to enable and configure lirc (Linux Infrared Remote Control) :
$ cd /boot
$ sudo nano config.txt
Add as last line:
dtoverlay=lirc-rpi,gpio_in_pin=18
I think that can be simplified to dtoverlay=lirc-rpi as it seems that lirc_rpi auto-detects the IR receiver on GPIO18.
Activate the apple silver configuration:
$ cd /etc/lirc/
$ sudo rm lircd.conf
$ sudo ln -s apple-silver-A1294-lircd.conf lircd.conf
Now reboot
$ sudo reboot
The Apple Remote should now work with OSMC!
The steps below are not necessary, but could help you verify that everything works:
$ dmesg | grep lirc
[ 4.289234] lirc_dev: IR Remote Control driver registered, major 244
[ 4.345142] lirc_rpi: module is from the staging directory, the quality is unknown, you have been warned.
[ 5.411573] lirc_rpi: auto-detected active low receiver on GPIO pin 18
[ 5.411759] lirc_rpi lirc_rpi: lirc_dev: driver lirc_rpi registered at minor = 0
[ 5.411763] lirc_rpi: driver registered!
[ 5.666436] input: lircd as /devices/virtual/input/input0
$ sudo lsmod | grep lirc_rpi
lirc_rpi 16384 2
lirc_dev 20480 1 lirc_rpi
$ sudo ls -l /dev/lirc*
crw-rw---- 1 root video 244, 0 Nov 9 17:14 /dev/lirc0
$ sudo systemctl status lircd_helper@lirc0
* lircd_helper@lirc0.service - lircd remote support
Loaded: loaded (/lib/systemd/system/lircd_helper@.service; static; vendor preset: enabled)
Active: active (running) since Fri 2018-11-09 18:43:34 CET; 9min ago
Process: 352 ExecStart=/bin/sh -c /var/run/lirc/lircd-lirc0.sh (code=exited, status=0/SUCCESS)
Main PID: 364 (lircd)
CGroup: /system.slice/system-lircd_helper.slice/lircd_helper@lirc0.service
`-364 /usr/sbin/lircd --driver=default --device=/dev/lirc0 --uinput --output=/var/run/lirc/lircd-lirc0 --pidfile=/var/run/lirc/lircd-lirc0.pid /etc/lirc/lircd.conf
$ irw
cf 0 KEY_PLAY linux-input-layer
cf 0 KEY_PLAY_UP linux-input-layer
1 0 KEY_ESC linux-input-layer
1 1 KEY_ESC linux-input-layer
1 0 KEY_ESC_UP linux-input-layer
160 0 KEY_OK linux-input-layer
160 0 KEY_OK_UP linux-input-layer
Regards
Mogens Beltoft
Le réseau des électroniciens a vocation à identifier, capitaliser et transmettre les savoir-faire métier, favoriser le partage d’expériences et mutualiser les ressources, au profit des électroniciens de l'ESR, des laboratoires et des projets scientifiques.
Il a vocation à éclairer les différentes instances de nos organismes de tutelle sur toutes les questions relatives à la communauté avec le soutien de la Mission pour les Initiatives Transverses et Interdisciplinaires du CNRS (MITI).
Vraiment excellent !
Tout est dans le titre
En complément du site NODE.