J'ai besoin d'intimité. Non pas parce que mes actions sont douteuses, mais parce que votre jugement et vos intentions le sont.
5138 links
On est totalement libre... de choisir dans quelle prison on va.
Exactement ça...
Excellent !!!
Et si on utilisait, comme dans certains endroits d’Espagne, nos casseroles, en attendant de pouvoir les utiliser pour chasser nos gouvernants incompétents, avec des slogans que l’on crierait dans toutes les rues : “C’est vous qui tuez l’hôpital public, comptez vos morts. Après le confinement, vous rendrez des comptes !”, ou encore, le classique, “Macron démission ! C’est pas le tout d’applaudir !” Chiche ?
Une autre vidéo sur la stratégie du choc.
On n'est pas en guerre, on est en carence de soin.
Totalement vrai. Et voilà pourquoi je ne vais pas à mon balcon applaudir comme un abruti. Mais aussi parce que je n'ai pas de balcon...
Analyse pertinente, à chaud, du discours de tout à l'heure...
Une grande part des agent⋅e⋅s se retrouvent dans un service qui n’est pas le leur... (...)
Une centaine d’agent⋅e⋅s ont suivi une formation accélérée de trois jours pour bosser en réanimation. Trois jours, c’est rien, c’est bien trop peu pour intervenir auprès de patient⋅e⋅s en réanimation !
Qu’enfin notre classe se réveille ! Qu’elle s’unisse pour ne plus subir ! Qu’elle soit forte et déterminée pour arriver à bout de ce système tourné à tout prix vers le fric !
Développer des alternatives aux politiques existantes, les garder en vie et à disposition jusqu’à ce que le politiquement impossible devienne politiquement inévitable
Moi, je fais mon boulot. J'applique ce que le ministère a décidé.
Tout est dit.
Et un foutage de gueule de plus, un !!!
Tu as tout dit. Résumé parfait du foutage de gueule de ce gouvernement de cons.
C'est clair et net. Seront-ils écoutés ????
Le réveil va être rude....
À propos des réformes de l’hôpital public
Les éditions Raisons d’agir soutiennent l’hôpital public qui affronte une crise sans précédent en diffusant la version numérique de l’ouvrage La Casse du siècle.
Décider d'un état d'urgence sanitaire sans avis d'experts ou comment s'attribuer les pleins pouvoirs en douce...
Le problème de l'épidémie actuelle n'est pas un problème stricto sensu au niveau individuel (le risque de mortalité n'est "que" de 2% environ) mais plus un problème de santé publique : on a peur que les hôpitaux et le personnel qui y travaille ne puissent faire face à l'afflux de cas graves par manque de moyens et de personnel.
Tout ça est le résultat de politiques purement comptables de la santé.
On ne récolte que ce que l'on sème...
L'humain n'est pas une marchandise.
La santé non plus !