J'ai besoin d'intimité. Non pas parce que mes actions sont douteuses, mais parce que votre jugement et vos intentions le sont.
5169 links
Voici les commandes à lancer (en mode superutilisateur) :
sudo apt install samba
Si vous utilisez le gestionnaire de fichier caja, il faut installer caja-share
(Nemo a déjà l'option de partage activée).
sudo apt install caja-share
Ensuite, il faut créer un utilisateur qui aura les droits de samba. Pour que cela fonctionne, il faut utiliser le nom de l'utilisateur qui partagera le dossier.
Ainsi, si l'on veut partager le dossier Partage
de l'utilisateur util1
, on lancera les commandes suivantes :
sudo smbpasswd -a util1
L'option -a
signifiant add user
.
Une fois la commande lancée, le script nous demande de choisir un mot de passe. Il faut en créer un différent de celui que l'utilisateur utilise pour se connecter à son compte sur Linux.
La politique de mot de passe est la suivante pour samba :
Le mot de passe devra être confirmé.
Si le mot de passe a été correctement saisi et confirmé, l'utilisateur sera ajouté.
Une fois l'utilisateur créé, il doit être activé avec la commande :
sudo smbpasswd -e util1
L'option -e
signifiant enable user
.
Il faut ensuite modifier le fichier de configuration de samba (/etc/samba/smb.conf
) pour spécifier le paramétrage du partage. À la fin du fichier, il faut ajouter :
[share]
path = /home/util1/Scanner
available = yes
valid users = util1
read only = no
writeable = yes
create mask = 0775
directory mask = 0775
guest ok = no
browseable = no
L'utilisateur util1
aura les droits de lecture et d'écriture dans le dossier qui ne pourra pas être découvert en scannant le réseau. Les autres utilisateurs ne seront pas acceptés.
Une fois les modifications réalisées, il faut relancer samba pour que ces changements soient pris en compte :
sudo systemctl restart smbd nmbd
Une fois tout cela fait, il faut que le pare-feu accepte les connexions samba. On lance alors la commande :
sudo ufw allow samba
Une fois que tout cela est fait, il est préférable de se déconnecter et de se reconnecter du compte utilisateur pour être certain que tout soit bien pris en compte.
Une dernière étape, est de sélectionner graphiquement l'option de partage en faisant un clic droit sur le dossier à partager (ici /home/util1/Partage
).
Ensuite, au niveau de l'imprimante sur le réseau, il suffit de spécifier dans le paramétrage, les informations concernant le partage. On entrera le nom de l'ordinateur sur lequel tourne Linux (si on ne sait pas comment il s'appelle, on regardera la première ligne du fichier /etc/hosts
. Pour l'exemple, l'ordinateur aura pour nom Mon-Ordi
) :
\\Mon-Ordi\Partage
util1
le mot de passe samba et pas celui de la session linux
Normalement, vous devriez pouvoir scanner depuis l'imprimante dans le dossier Partage
.
Solution de sauvegarde de PC tous systèmes (quasi)
Logiciel utilisé pour siphoner toutes les données d'un téléphone, par une majorité des polices du monde.
Ça télécharge absolument tout ce qu'il y a dans un téléphone, quelle que soit la marque et le modèle.
Et n'espérez pas que le mot de passe ou la reconnaissance faciale bloque quoi que ce soit : le code pin associé peut sauter en trés peu de temps.
Créer par une compagnie israëlienne.
À tester : pour du partage de fichiers sécurisée et anonyme.
Tuto partage samba
Et on va nous l'imposer en entreprise avec la complicité de l'état...
Ça me fait bondir (pour rester poli).
Un caillou dans la chaussure pour Apple qui fait bien partie des GAFAM au cas où certains auraient oublié...
Encore un excellent tuto pour sauvegarder ses données, de la part de Sebsauvage.
Merci !
Un site avec l'ensemble des techniques de base pour un CAP patisserie. Trop bien.
Palette pour Tiddlywiki et plein d'autres logiciels
Vous l'utilisez tous les jours. Pensez à faire un don à Thunderbird.
Trop bien cet article. J'ai appris de nouveaux raccourcis (je n'ai jamais pris le temps de regarder dans les paramètres)...
Crtl+A : revenir en début de ligne
Ctrl+E : aller en fin de ligne
Alt+B : revenir en arrière d'un mot
Alt+F : avancer d'un mot
Ctrl+U : effacer le début de ligne à partir de la position du curseur
Ctrl + K : effacer la fin de ligne depuis la position du curseur
history : pour afficher l'historique des commandes précédemment écrites
Et pour rejouer une commande, il suffit de taper !
+ le numéro de commande
:
!587
Ce qui rejouera la ligne 587 de l'historique
Pour cloner et gérer un parc d'ordi
Pour compresser des images pour le web.
Voici le PC que je viens de recevoir avec les cartes d'extension supplémentaires :
J'ai opté pour 32 Go x 2 de RAM et un SSD de 1 To. J'ai également pris un chargeur usb-c.
L'ensemble m'a coûté 2169 € + 60 € de frais prélevés par ma banque car le paiement est pour une entreprise hors UE...
Il faut être patient mais ça vaut le coup. L'équipe nous tient régulièrement informé de l'état d'avancement des commandes et nous informe une fois qu'un lot de commandes va être traité. Cela permet à l'entreprise de mutualiser le coût de l'envoi et de construction des PC.
On a ensuite un état de l'avancé de la livraison.
Finalement, l'ordinateur est livré par transporteur un peu en avance par rapport au délai estimé.
Il est dans un carton rigide, lui-même dans un carton lui aussi rigide et un peu plus grand pour contenir un carton pour le chargeur et un carton pour les cartes d'extension.
Le design est soigné et tout est empaqueté avec soin.
J'ai opté pour le modèle DIY (Do It Yourself : fais le toi-même). Il faut donc monter la RAM et le SSD. Pour cela, il faut démonter le clavier à l'aide du tournevis fourni. Il n'est pas nécessaire de déconnecter la nappe. Il suffit de déviser les petites vis (qui restent attachées à la coque) et de basculer le clavier.
Ensuite, on connecte les deux barrettes de RAM (qui se clipsent facilement : on ne peut pas se tromper de sens vu la forme de chaque barrette). Pour être certain de la marche à suivre, chaque composant possède un QRCode qui mène vers une page de documentation dédiée. Je n'ai pas eu à les lire vu la simplicité de la manipulation.
On procède de même avec le SSD et on remet en place le clavier.
Le tout prend une petite dizaine de minutes si l'on prend tout son temps.
Ensuite, il faut installer le système d'exploitation de son choix.
J'ai opté pour la dernière version de linux Mint.
À l'usage, le PC est très agréable.
Le clavier Azerty est très souple et le confort de frappe est au rendez-vous.
Il est rétroéclairé et la luminosité est réglable par un raccourci qui fait appel aux touches fn et barre d'espace.
Le pad est assez grand et réactif. Il n'a pas à rougir face à celui d'un mac.
L'écran a une résolution de 2256x1504. L'échelle est réglée à 200%, ce qui me semble relativement important.
La batterie est donnée pour tenir pendant 7 heures mais à l'usage, elle tient beucoup moins longtemps, surtout si l'on regarde une vidéo relativement de longue durée.
Caméra et micro peuvent être désactivés physiquement à l'aide de 2 boutons dédiés.
L'ordinateur Framework a une note de réparabilité de 10/10. Tous les composants peuvent être changés et facilement. Rien n'est collé et toute les procédures sont expliquées.
Il est livré sans OS : on peut donc choisir celui que l'on veut sans être obligé de désinstaller un window préinstallé.
L'ordinateur est léger mais reste solide. La coque est en alu est se rapproche de celle d'un mac book air.
Les cartes d'extension sont vraiment bien pensées et peuvent être connectées/déconnectées à chaud vu qu'elles fonctionnent en usb-c.
Les 4 ports usb-c solicitent la batterie, ce qui diminue la durée de temps de charge.
Les frais d'achat (mais dont le constructeur n'est pas responsable) qu'il faut prendre en compte dans le budget.
Je n'ai pas trouvé d'autre défaut dans la cuirasse ce qui fait que je ne regrette absolument pas mon achat.
Voilà une semaine que je possède cet ordinateur et je suis totalement satisfait de ma décision.
Je suis conscient qu'il y a un risque que Framework fonde les plombs du jour au lendemain mais j'espère qu'ils pourront tenir longtemps tant le concept est bien pensé.
Je préfère tenter l'aventure et me dire, qu'au moins, j'ai des chances de pouvoir réparer ou faire monter en gamme mon pc si besoin, contrairement aux PC vendu par Apple ou un constructeur windowsien.
Bref, si vous êtes à la recherche d'un nouveau pc, je vous conseille de vous tourner vers Framework sans hésitation.
Idem pour ce film également :
« Internet ou la révolution du partage » est, pour sa part, la version courte (55mn) d'un film plus long : « La Bataille du libre » (87mn). Produit par TempsNoir il est aussi sorti en 2019.
Toutes les infos sur : https://www.labatailledulibre.org/Réalisé par l'ami @PhilippeBorrel il prend de la hauteur, et pointe l'affrontement de 2 mondes : celui de la propriété intellectuelle, des semences Monsanto, des médicaments brevetés, des matériels verrouillés, etc face au monde du partage et de la solidarité.
Ce film permettra aux spectateur⋅ices de placer le mouvement du logiciel libre au sein de mouvements et de luttes plus larges, ayant cours dans tous les domaines, sur toute la planète.
Je recopie ici le pouet de Framasoft car tout y est :
« LOL, une affaire sérieuse » est réalisé par François Zaïd, sur un scénario de Léa Deneuville et Thierry Bayoud (2019, France, 57 min, prod/distrib. Gigowatt). Le film est centré sur l'histoire du logiciel libre et le fonctionnement de ses communautés.
Il y est aussi question de l'opposition entre le mouvement du libre et le capitalisme de surveillance des GAFAM (avec du Framasoft dedans).
Ce doc est un très bon point d'entrée si vous vous intéressez au logiciel libre, ou que vous souhaitez le faire découvrir à des proches.
Le film est rendu public (volontairement) deux ans après le décès de Laurent Séguin, président de l'@afulorg, musicien, et proche de Framasoft.
https://framablog.org/2020/11/03/hommage-a-laurent-seguin/
Merci aux auteur⋅es pour cette attention 🙏