J'ai besoin d'intimité. Non pas parce que mes actions sont douteuses, mais parce que votre jugement et vos intentions le sont.
5169 links
The example in the previous section can be expanded to build a basic data transfer model. Any information input into one end of the connection is output to the other end, and input and output can be easily captured in order to emulate file transfer.
Start by using nc to listen on a specific port, with output captured into a file.
On a given machine, start listening over any port (any port over 1024 without needing su privileges). Here we arbitrarily chose port 1120:
$ nc -l -p 1120 > filename.out
The -l tag says we want to listen and the -p tag specifies the port.
Using a second machine, connect to the listening nc process, feeding it the file which is to be transferred.
On another machine connected to the same local network, connect to the first machine. If the first machine’s hostname is “second” we do:
$ nc second 1120 < filename.in
or
$ nc host.example.com 1120 < filename.in
After the file has been transferred, the connection closes automatically.
Le numérique pour tous
Via (presque) SebSauvage :D
Just use the unxz program:
unxz kali-1.1.0-rpi2.img.xz
Note: the original file will be removed. Only the .img file will remain. If you want to keep the original archive, use
unxz --keep kali-1.1.0-rpi2.img.xz
Les fichiers .xz sont des fichiers compressés. Un fichier .xz de 300Mo fait en fait aux alentours de 2Go
In many cases it can become cumbersome to transfer files to and from a droplet. Imagine a development usage scenario where you are coding apps remotely and find yourself uploading a script repeatedly to your virtual server to test. This can become quite a hassle in a very short period of time. Luckily there is a way to mount your VPS file system to your local computer so you can make changes on the fly and treat your droplet as local storage. In this article, we will show you how to do exactly that.
Loïc Carr (dimtion) Portfolio
Si lors d'une tentative de mise à jour d'un raspberry pi sous raspian, vous avez l'erreur ci-dessus, c'est que le serveur de mise à jour est inaccessible.
Modifier le fichier /etc/apt/sources.list
peut résoudre le problème.
pi@raspberrypi:~ $ sudo nano /etc/apt/sources.list
Cela ouvre le fichier sus-nommé :
deb <a href="http://raspbian.raspberrypi.org/raspbian/">http://raspbian.raspberrypi.org/raspbian/</a> buster main contrib non-free rpi
# Uncomment line below then 'apt-get update' to enable 'apt-get source'
#deb-src <a href="http://raspbian.raspberrypi.org/raspbian/">http://raspbian.raspberrypi.org/raspbian/</a> buster main contrib non-free rpi
En décommentant la dernière ligne comme noté, cela a résolu le problème chez moi.
deb <a href="http://raspbian.raspberrypi.org/raspbian/">http://raspbian.raspberrypi.org/raspbian/</a> buster main contrib non-free rpi
# Uncomment line below then 'apt-get update' to enable 'apt-get source'
deb-src <a href="http://raspbian.raspberrypi.org/raspbian/">http://raspbian.raspberrypi.org/raspbian/</a> buster main contrib non-free rpi
Un ctrl+x
pour fermer et o
pour enregistrer la modification
Comment utiliser l'OCR avec XSANE
Trop bien !
Merci du partage.
Un pote m'a donné un LG G4 mais il faut que je le "bootload" (je ne sais plus trop le terme) mais le formulaire chez LG pour obtenir le fichier bin qui le permet est une horreur et pas aux normes RGPD. Je ne suis pas allé plus loin que l'affichage de ce formulaire pour l'instant...
Le store de PINE64
Si, lors d'une mise à jour du noyau, vous avez l'erreur ci-dessus, c'est que le dossier boot
n'a plus assez d'espace car les anciens noyaux sont toujours là.
Repérez d'abord la version en cours en faisant :
uname -r
Vous devriez obtenir quelque chose comme 4.4.0-34-generic
(la version peut changer selon votre installation).
Ce noyau NE DOIS ABSOLUMENT PAS être supprimé (c'est la version en cours).
Observez toutes les versions à l'aide d'un ls /boot
et recherchez la plus ancienne. Recherchez ensuite tous les fichiers qui lui sont associés à l'aide de la commande :
locate -b -e 3.19.0-56-generic
(la version est à adapter au résultat obtenu pas ls /boot
)
Les options -b
et -e
servent respectivement à lister le nom des fichiers qui répondent au pattern recherché (ici 3.19.0-56-generic
) et qui existent au moment de l'exécution de locate
On va les supprimer en utilisant la commande :
locate -b -e 3.19.0-56-generic | xargs -p sudo rm -r
Ici, on refait la recherche mais grâce à xargs
et au pipe, on passe le résultat de la recherche à la commande suivante qui demande une suppression récursive (rm -r
). Heureusement, la commande doit être confirmée grâce à l'option -p
: le résultat est affiché avant d'être exécuté et doit être confirmé grâce à la touche y
(pour yes
). La touche n
annule tout.
Vérifiez ensuite que la commande a bien fonctionné en faisant :
sudo updatedb && locate -b -e 3.19.0-56-generic
Si rien ne s'affiche, c'est que la suppression a bien eu lieu.
Répétez l'opération autant de fois que nécessaire pour ne conserver que 2 noyaux (celui en cours et le précédent).
Ensuite, exécuter les commandes suivantes pour finaliser la mise à jour :
sudo update-grub
sudo apt update
sudo apt upgrade
Puis, en croisant les doigts :
update-initramfs
Pour éviter ces désagréments à chaque mise à jour du noyau, faire avant un :
sudo apt autoremove
Mais que ça m'a l'air bien ça !
À creuser...
PCs Designed For GNU/Linux.
A Company Where Freedom Matters.
Avant tu écrivais ton .js et ton .html et ça marchait. Maintenant faut installer 3 gestionnaires de téléchargement, 2 éditeurs de texte, 5 outils de virtualisation pour je ne sais quoi et encore d’autres trucs à la con qui ne marchent que dans Chrome.
… pour au final se retrouver avec une page web qui tombe en miettes dès qu’il y a une nouvelle version d’un des outils utilisés.
C’est pas ça que je veux faire en tant que « web dév » :(
Moi non plus. C'est tout le problème des frameworks et autres librairies.