J'ai besoin d'intimité. Non pas parce que mes actions sont douteuses, mais parce que votre jugement et vos intentions le sont.
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Comme avec tous les objets connectés (ordiphones, voitures...)
Les données que collecte Google.
Il disait quoi déjà Richard ?
Quand on y pense, on ne peut que se réjouir d'une telle avancée étant donné les vastes possibilités d'utilisation qu'elle offre. D'ailleurs, UnifyID et un constructeur automobile non identifié développent même un système permettant de déverrouiller les portières d'un véhicule une fois que la démarche du conducteur, telle que mesurée par son téléphone, est reconnue. Toutefois, il ne faut pas perdre de vue le fait que certains pourraient se servir de la biométrie comportementale à des fins moins nobles telles que l'espionnage. On se retrouverait donc avec des appareils dans nos poches qui permettraient à des individus malveillants de surveiller nos actions à longueur de journée.
Quelle conclusion de merde. Ce sera trop cool d'être espionné sans arrêt ! Les assurances et les gouvernements vont s'en donner à cœur joie.
C'est moi ou on commence à entendre des bruits de bottes ???
Hallucinant de la part d'OVH !
Le partenariat entre OVH et crosoft prend de l'ampleur et les webmails roundcube seront remplacés par OWA (Outlook web access) sans autre choix possible que d'installer soit même une autre solution.
Je ne sais pas si je ne vais pas chercher un autre hébergeur pour le coup ?
Non seulement ce ne sera pas efficace, mais en plus on sera encore plus fliqué que l'on ne l'est. Cela permettra d'augmenter l'efficacité des moyens de reconnaissance faciale dans les lieux publics ou de détection d'empreintes. Bref, on sera surveillé en permanence même dans des endroits où l'on pensera ne pas l'être...
Bref, arrêtez d'utiliser windows...
Si bien que si aujourd’hui rien ne laisse présager un autre usage de ces informations, l’existence même d’une base de données de santé, qui plus est dans les mains d’un acteur privé, exacerbe les craintes. De nombreux acteurs, comme des assureurs ou annonceurs, pourraient vouloir accéder à ces informations pour un usage différent. Le contrôle de Doctolib devient donc un enjeu sensible. Or, comme toute start-up, Doctolib perd de l’argent, et aucun objectif de rentabilité n’est pour l’instant fixé. En conséquence, l’entreprise est en recherche de liquidités constante, et donc d’investisseurs.
Ses actionnaires historiques, l’organisme public Bpifrance, les sociétés d’investissement françaises Eurazeo et Kernel et celle de capital-risque américaine Accel, continuent à la soutenir. Un autre s’est récemment ajouté avec la levée de fonds de 150 millions d’euros de mars 2019 : le fonds d’investissement américain General Atlantic. Un renforcement du poids des investisseurs étrangers qui ne semble pour l’instant pas inquiéter les pouvoirs publics.
La faille de ce dispositif réside dans le dernier alinéa de cet article qui indique que « les modalités et les conditions d’application du présent article sont déterminées par décret en Conseil d’Etat. » Or, trois ans plus tard, aucun décret n’a encore été publié, ce qui fait de « l’entrepôt » un objet non identifié par la loi et sans encadrement légal. Interrogé, le secrétaire général du gouvernement, Marc Guillaume, n’a pas souhaité répondre à nos questions. Mais dans ses services, sous le couvert de l’anonymat, on explique qu’il n’y a pas de décret « pour défaut de base constitutionnelle ».
Les trois auteurs ont ainsi analysé la manière dont les in-ternautes peuvent être tracés sur Internet par le biais d’une technique d’appareils appelée browser fingerprinting : cette technique consiste à collecter des informations relatives à la configuration du navigateur Web de l’utilisateur et de son système d’exploitation lorsqu’il visite un site Web. Ils y dé-montrent l’accès, via les innovations HTML5, à des critères utilisables pour identifier les internautes, aussi bien sur appa-reils fixes ou mobiles. Ils ont en parallèle exploré les évolutions possibles que les fournisseurs de technologie web pourraient mettre en place pour réduire les effets du traçage d’appareils sur Internet.
Rapport d'activité CNIL 2018
Trop fort : un site qui "dénonce" les pratiques de Facebook mais qui colle dans sa page au moins 3 boutons du même Facebook (plus tous les autres trackers...).
Banni définitivement de ma liste de lecture...
L'autre nem, il n'a pas acheté que des avions à Nice. Il a aussi refourgué ses idées nauséabondes...
Si c'est ça, je n'aurai plus de téléphone.
Depuis Firefox version 67, vous avez la possibilité de décider quelles extensions peuvent s’exécuter en navigation privée. En outre, les extensions ne sont plus automatiquement autorisées à s’exécuter en navigation privée ; vous devez leur accorder la permission de s’exécuter en navigation privée, soit à l’installation, soit plus tard, dans les paramètres de l’extension.
Suite au dossier du RAP sur les écrans publicitaires de la RATP (https://antipub.org/dossier-les-cameras-publicitaires-pur-fantasme/), j'ai décidé de créer un petit script permettant de signaler à la société Retency chargée du projet une liste d'adresses MAC (adresse physique d'un périphérique réseau, comme une puce WiFi) au hasard afin de déclarer un maximum de périphériques comme ne devant pas être tracés.
Lorsque la page s'affiche, celle-ci génère donc une adresse au hasard et soumet celle-ci à la société.
C'est le navigateur de l'internaute qui pousse les données, ce qui permet d'avoir un grand potentiel et peu de risque d'être contré, car il s'agira de tas d'adresses IP différentes.
L'installation est basique, copiez cette page sur un serveur web et demandez à vos amis, voisins, collègues d'aller la visiter...