Cela ne convertit pas les pages en images comme avec pdftocairo, mais au contraire extrait les images utilisées dans le PDF.

    pdfimages -all fichier.pdf images/image

Cela va créer des fichiers image-000, image-001, etc. contenant toutes les images du pdf dans un sous-dossier images, qu'il faudra avoir préalablement créé.

Quand les fichiers d'une applications sont considérés comme des archives par le mimetype, c'est le gestionnaire d'archives qui est paramétré pour les ouvrir.

Pour que ce soit l'application voulue qui s'ouvre, il faut déterminer un nouveau mimetype et mettre les base de données à jour.

Voici la marche à suivre :

From Archlinux default applications:

Create your xml file in ~/.local/share/mime/packages (I guess that /usr/share/mime/packages is also fine, but didn't test it)

    mkdir -p ~/.local/share/mime/packages
    touch ~/.local/share/mime/packages/application-alpha.xml

Edit application-alpha.xml :

    <?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
    <mime-info xmlns="<a href="http://www.freedesktop.org/standards/shared-mime-info"&gt">http://www.freedesktop.org/standards/shared-mime-info"&gt</a>;
        <mime-type type="application/alpha">
            <comment>alpha file</comment>
            <glob-deleteall/>
            <glob pattern="*.alpha"/>
        </mime-type>
    </mime-info>

Now create the desktop file ~/.local/share/applications/alpha.desktop :

    [Desktop Entry]
    Name=Alpha
    Exec=/PATH/TO/YOUR/alpha
    MimeType=application/alpha
    Terminal=false
    Type=Application

add the right exec path to your alpha application, and if this a console app change Terminal to true.

Now update the applications and mime database with :

    update-desktop-database ~/.local/share/applications
    update-mime-database    ~/.local/share/mime

Now if you double click your abc.alpha file /PATH/TO/YOUR/alpha app should open your file.

Je copie-colle l'astuce donnée par Seb :

OH ! Je me garde cette astuce: Elle permet d'utiliser SQLite pour lancer une requête sur un fichier CSV et d'en récuperer le résultat. Le tout en une seule ligne de commande.

sqlite3 :memory: -cmd '.mode csv' -cmd '.import taxi.csv taxi' 'SELECT passenger_count, COUNT(*), AVG(total_amount) FROM taxi GROUP BY passenger_count'

This uses the special :memory: filename to open an in-memory database. Then it uses two -cmd options to turn on CSV mode and import the taxi.csv file into a table called taxi. Then it runs the SQL query.

EDIT: Voir aussi https://dinedal.github.io/textql/

Il est bon ce Bronco, il est bon (dans le sens que vous voulez)...

Bon par contre, il faut virer tous les appels vers google...

Merci pour l'info. Ça va m'être utile

Y a plein de fonds d'écran à faire là !

Arrêtez de tout vouloir domestiquer plutôt. La vie s'est très bien débrouillée toute seule pendant des milliards d'années. Elle a toujours su s'adapter.
Et à trop vouloir trop régenter, on va se prendre un méchant retour de bâton dans la tronche et on aura tout perdu.
Par contre, la vie, elle continuera. Mais sans nous...

Excellent ! Peut servir aussi à d'autres personnes que des professeurs.

Plus généralement, la responsibilisation individuelle du patient, adossé aux technologies de l’e-santé risque de détruire le principe de la sécurité sociale à la française, en individualisant les risques et en faisant porter le poids de la réduction des coûts sur le malade, ou sur le contractant de polices d’assurance, tout au long de sa vie. L’e-santé, selon son mode d’application, peut donc participer au basculement vers un modèle de type micro-assurantiel , avec certains individus, plus exposés aux risques de santé, qui se verraient offrir des contrats d’assurance plus onéreux et des algorithmes aux biais inévitables, de genre ou ethniques par exemple. Cette personnalisation basée sur les algorithmes et les données de santé risque de neutraliser le principe égalisateur de l’assurance santé universelle, celui où chacun reçoit le même service aujourd’hui, comme demain, après un accident de voiture ou autres accidents de la vie. Ceci n’est pas le modèle défendu aujourd’hui par le gouvernement français et les institutions pour l’e-santé.

Derrière la valorisation des données de santé se posent aussi des questions plus profondes, relatives à l’humain. Les données suivent une logique statistique qui participe à la marginalisation de la relation entre le patient et le médecin, de la compétence d’un médecin à établir un diagnostic et du ressenti du patient quant à son propre état de santé. Le patient n’a plus grand-chose à décrire, le médecin, plus grand-chose à prescrire, dans une médecine algorithmiquement assistée où les seules données de santé auraient une prétention à l’exhaustivité.

Les dirigeants des géants technologiques américains promettent de guérir le cancer par les miracles de l’intelligence artificielle, mais la véritable intelligence n’est-elle pas collective ? La mise en place en France de l’e-santé ne fait guère l’objet d’un débat public et elle s’est faite de façon dépolitisée, avec l’aide de Mc Kinsey et de son étude « E-santé, augmentons-la dose ! ». Imposer une directive européenne sous pression des industriels, en toute discrétion et sans débat démocratique adéquat, ne fait que confirmer le peu d’intérêt de nos dirigeants pour les Français, les Européens et leurs préoccupations légitimes.