J'ai besoin d'intimité. Non pas parce que mes actions sont douteuses, mais parce que votre jugement et vos intentions le sont.
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En cas de problème d'accès aux fichiers suite à une mise à jour, il faut mettre la directive requirepass avec le mot de passe présent dans le fichier de config de nextcloud, dans le fichier de configuration de redis /etc/redis/redis.conf
. Il faut ensuite relancer le server redis avec la commande systemctl restart redis
À tester : pour du partage de fichiers sécurisée et anonyme.
Lorsqu'on utilise une extension de type FileLink (comme *cloud ou FileLink provider forWedDav) et que l'on joint des fichiers en utilisant ce type d'extension, Thunderbird ajoute dans le corps du message un résumé des fichiers envoyés avec leur nom, le lien, etc.
Ce résumé utilise un template fournis par défaut avec Thunderbird dont le message peut ne pas convenir.
Avant toute modification, le template affiche le message "J'ai lié x fichier à ce message" (ou "J'ai lié xx fichiers à ce message"):
Pour modifier ce message, il faut avant toute chose, quitter Thunderbird.
Ensuite, il faut se rendre, en tant que superutilisateur, dans le dossier /usr/lib/thunderbird-addons/extensions
et ouvrir avec le gestionnaire d'archives le fichier langpack-fr@thunderbird.mozilla.org.xpi
(si vous souhaitez modifier une autre langue, sélectionnez le fichier ad hoc).
Il est fortement conseillé de faire une copie préalable de ce fichier avant toute modification afin de pouvoir revenir en arrière en cas de problème.
Une fois l'archive ouverte, enregistrez le dossier localization
, sur votre bureau par exemple, et ouvrez avec votre éditeur de texte préféré le fichier localization/fr/messenger/messengercompose/messengercompose.ftl
.
Modifiez les lignes 310 et 311 pour entrer le message de votre choix.
Attention de bien conserver la mise en page des messages. Pour ma part, j'ai transformé les messages :
[one] J’ai lié un fichier à ce message<0xa0>:
*[other] J’ai lié { $count }<0xa0>fichiers à ce message<0xa0>:
en
[one] Un fichier est lié à ce message :
*[other] { $count }<0xa0>fichiers sont liés à ce message<0xa0>:
Une fois le fichier modifié, enregistrez le.
Toujours avec les droits root, ouvrez à nouveau l'archive /usr/lib/thunderbird-addons/extensions/langpack-fr@thunderbird.mozilla.org.xpi
et dans le dossier localization/fr/messenger/messengercompose/
glissez/déposez le fichier messengercompose.ftl
précédemment modifié.
Normalement, le fichier d'origine devrait être remplacé par le nouveau.
Fermez le gestionnaire d'archives et relancez Thunderbird.
Maintenant, lors de l'ajout d'un fichier via FileLink, le message qui devrait s'afficher devrait être :
Edit : l'inconvéniant avec cette manipulation est que chaque mise à jour de Thunderbird devrait supprimer vos modifications. Ne soyez pas étonné. Ce qui serait bien, ce serait que Thunderbird permette la modification de ce template de façon simple dans les préférences.
De ce fait, on va faire en sorte de retirer le droit d'exécution à tous, et de retirer le droit de lecture au reste du monde.
Les commandes# $USER devient propriétaire et le groupe www-data devient groupe prorpiétaire sudo chown -R $USER:www-data /var/www/html
# le propriétaire peut lire et écrire, le groupe peut lire, et le monde ne peut plus rien faire dans ce dossier sudo chmod -R u=rwX,g=rx,o= /var/www/html
Après, il suffit d'ajouter au cas par cas les droits d'écriture à notre serveur web sur les sous-dossiers le nécessitant. Exemple :
sudo chmod -R g+w /var/www/html/sous/dossier
Merci pour l'info. Ça va m'être utile
Il faut au préalable avoir installé Nemo via apt
.
xdg-mime default nemo.desktop inode/directory application/x-gnome-saved-search
gsettings set org.gnome.desktop.background show-desktop-icons false
gsettings set org.nemo.desktop show-desktop-icons true
Et pour vérifier :
xdg-mime query default inode/directory
Pour revenir en arrière :
xdg-mime default nautilus*.desktop inode/directory application/x-gnome-saved-search
gsettings set org.nemo.desktop show-desktop-icons false
gsettings set org.gnome.desktop.background show-desktop-icons true
Il faut au préalable avoir installé Nemo via apt
.
xdg-mime default nemo.desktop inode/directory application/x-gnome-saved-search
gsettings set org.gnome.desktop.background show-desktop-icons false
Et pour revenir en arrière :
xdg-mime default nautilus.desktop inode/directory application/x-gnome-saved-search
gsettings set org.gnome.desktop.background show-desktop-icons true
Avantage d'utiliser SQLite plutôt qu'un format de fichier à vous:
- accès en lecture/écriture plus rapide.
- écritures atomiques (moins de risques de corruption des données)
- possibilité de requêtage (vous pouvez demander à SQLite d'aller chercher juste les données qui vous intéressent dans le fichier. Vous n'avez pas à lire tout le fichier d'un coup)
- possibilité de modification partielle (donc plus rapide, car il n'y a pas TOUT le fichier à ré-écrire pour modifier juste une donnée)
- stockage plus efficace (le stockage de données binaires dans une base SQLite est plus efficace que de les écrire dans de multiples fichiers, à cause de la taille des blocs disque des systèmes de fichier).
Pour renommer en masse des fichiers.
Mais ça m'a l'air bien tout ça...
Une sorte de Dukto en ligne de commande.
Un petit programme pour renommer en masse des fichiers ou des dossiers sous windows. Il y a une version portable.
Fonctionne super bien. Il permet de changer l'extension, modifier des caractères par d'autres et plus encore.
Cent fois mieux que la commande ren
basique.
The example in the previous section can be expanded to build a basic data transfer model. Any information input into one end of the connection is output to the other end, and input and output can be easily captured in order to emulate file transfer.
Start by using nc to listen on a specific port, with output captured into a file.
On a given machine, start listening over any port (any port over 1024 without needing su privileges). Here we arbitrarily chose port 1120:
$ nc -l -p 1120 > filename.out
The -l tag says we want to listen and the -p tag specifies the port.
Using a second machine, connect to the listening nc process, feeding it the file which is to be transferred.
On another machine connected to the same local network, connect to the first machine. If the first machine’s hostname is “second” we do:
$ nc second 1120 < filename.in
or
$ nc host.example.com 1120 < filename.in
After the file has been transferred, the connection closes automatically.
Sinon, il y a 7zip qui fait parfaitement le taf...
Ça peut être utile.
Pour les fichiers json, avant toute chose, pensez à convertir les caractères accentués (é
en \u00e9e
par exemple).
Si vous ne savez pas la correspondance, json_encode en php peut vous aider :
$a = array('é','è','à');
foreach($a as $k => $v) {
var_dump(str_replace('"','',json_encode($v)) );
}
Quand vous avez un gros fichier (plus de 20 000 entrées) à lire en ajax (avec dataTable.js par exemple), si le fichier est présenté de la façon suivante, le navigateur a une chance sur 2 de planter en cours de lecture :
{
"data":
[
[
"donn\u00e9ee 1",
"donn\u00e9ee 2",
"donn\u00e9ee 3",
"donn\u00e9ee 4",
"donn\u00e9ee 5"
],
[
"donn\u00e9ee 1.1",
"donn\u00e9ee 2.2",
"donn\u00e9ee 3.3",
"donn\u00e9ee 4.4",
"donn\u00e9ee 5.5"
],
(...),
[
"donn\u00e9ee n1",
"donn\u00e9ee n2",
"donn\u00e9ee n3",
"donn\u00e9ee n4",
"donn\u00e9ee n5"
]
]
}
Il vaut mieux les présenter sur une ligne par entrée. Là, ça passe car il y a moins de lignes à lire :
{
"data": [
[ "donn\u00e9ee 1", "donn\u00e9ee 2", "donn\u00e9ee 3", "donn\u00e9ee 4", "donn\u00e9ee 5"],
[ "donn\u00e9ee 1.1", "donn\u00e9ee 2.2", "donn\u00e9ee 3.3", "donn\u00e9ee 4.4", "donn\u00e9ee 5.5"],
(...),
[ "donn\u00e9ee n1", "donn\u00e9ee n2", "donn\u00e9ee n3", "donn\u00e9ee n4", "donn\u00e9ee n5"]
]
}
C'est tout con, mais j'ai passé ma matinée à trouver comment faire :-p
Pour envoyer de gros fichiers.
La documentation : https://docs.filesender.org/v2.0/
Le dépôt Github : https://github.com/filesender/filesender