J'ai besoin d'intimité. Non pas parce que mes actions sont douteuses, mais parce que votre jugement et vos intentions le sont.
5138 links
Idem pour ce film également :
« Internet ou la révolution du partage » est, pour sa part, la version courte (55mn) d'un film plus long : « La Bataille du libre » (87mn). Produit par TempsNoir il est aussi sorti en 2019.
Toutes les infos sur : https://www.labatailledulibre.org/Réalisé par l'ami @PhilippeBorrel il prend de la hauteur, et pointe l'affrontement de 2 mondes : celui de la propriété intellectuelle, des semences Monsanto, des médicaments brevetés, des matériels verrouillés, etc face au monde du partage et de la solidarité.
Ce film permettra aux spectateur⋅ices de placer le mouvement du logiciel libre au sein de mouvements et de luttes plus larges, ayant cours dans tous les domaines, sur toute la planète.
hihi ! Excellent ! Et tellement vrai...
Les banques en ligne c'est bien, jusqu'à ce que ça merde.
Et quand ça merde, et bien il ne reste que les yeux pour pleurer...
En installant Dietpi sur un Raspberry Pi 400, j'ai eu des difficultés à faire fonctionner le wifi. La carte était bien reconnue, le réseau aussi mais lorsque je lançais la vérification de la connexion, le retour était toujours négatif.
Par contre, avec un câble réseau éthernet, la connexion à internet était fonctionnelle. Et c'est là que se situait le problème.
Avec Dietpi, actuellement, il faut choisir entre éthernet ou wifi. Il n'est pas possible d'avoir les deux en même temps, sans que le wifi ne plante. Cela vient du fait que, si l'on déconnecte le câble éthernet pour utiliser le wifi mais en laissant la carte éthernet active, dietpi va chercher à connecter d'abord la carte éthernet (ce qu'il ne pourra pas faire puisque le câble est débranché) puis le wifi (qui du coup plantera car le temps de connexion sera dépassé).
Donc, si l'on veut utiliser le wifi, il faut désactiver la carte éthernet. Pour cela, il faut ouvrir un terminal et taper la commande :
sudo dietpi-config
Cela va lancer l'utilitaire maison permettant de configurer l'os. On choisira (à l'heure où j'écris ces lignes) l'option 7 : Network Options: Adapters
.
Ensuite, on sélectionnera la ligne Ethernet de manière à ce qu'elle affiche Ethernet : Available | [Off] | Disconnected
.
À l'inverse, il faudra que la ligne concernant le wifi soit égale à WiFi : Available | [On] | Connected
et que la carte wifi soit active : Onboard WiFi : [On]
.
Une fois cela fait, on lancera le test de connexion en bas de cette même page, qui devrait retourner un résultat positif : Test : [Success] | Online
On pourra alors sortir de l'utilitaire et naviguer sans encombre sur les réseaux.
« d’inscrire la lutte contre le harcèlement scolaire parmi les objectifs assignés aux plateformes et fournisseurs d’accès. Il consacre l’obligation de modération des contenus de harcèlement scolaire sur les réseaux sociaux ». Sa proposition consiste à inclure un nouvel article à la liste des articles que doivent suivre FAI comme hébergeurs.
Et la neutralité des réseaux, on s'y assoit dessus...
J'entends souvent dire que les gens se sont habitués à ce qu'internet soit gratuit. Ce que l'on oublie de dire dans ce genre de cas, c'est que les gens paient au minimum 40€ par mois pour y avoir accès. Soit 480€ par an.
Perso, je ne trouve pas que ce soit gratuit.
Timo vient de publier une version mise à jour d'oText, son moteur de blog, flux rss, échange de fichiers, agenda, prise de notes...
Ouais, enfin le web gratuit, je ne m'en suis jamais rendu compte. Je paie tous les mois plus de 30€ pour accéder au web. Soit sur une année plus de 360€. Donc ce n'est clairement pas gratuit et ça ne l'a jamais été. Mais pour 360€ par an, j'espère bien ne pas avoir à payer encore plus pour afficher une page qui bien souvent contient de la merde.
Souriez ! Vous êtes surveillé !
On comprend aisément l'intérêt d'accéder à de telles informations pour la police. Mais ce n'est pas la seule à pouvoir les consulter.
Aujourd’hui, la performance globale (des services publics) des pays membres de l’UE est de 68 %, avec une nette amélioration dans la transparence.
Ce qui ne veut absolument rien dire.
Lorsqu’on s’interroge sur les droits et les conditions de vote des citoyens européens, on comprend rapidement qu’en plus de la législation qui doit être améliorée (...)
Ou comment introduire en force le vote électronique... Le code sera bien sûr fermé et non vérifiable, sinon ce ne sera pas rigolo.
L’identifiant électronique (carte à puce ou sans contact) ou purement numérique (séquence de chiffres) serait validé à l’aide de données biométriques ou financières (compte bancaire) ou d’un profil Internet, donnant accès à l’état civil, à la santé, aux informations financières, etc. de son propriétaire.
Donc si ton ID fuite, tu te retrouves à poils
Margrethe Vestager, la vice-présidente de la Commission européenne chargée de la stratégie numérique, ajoute que « de la déclaration d’impôts à l’ouverture d’un compte bancaire ou à la demande d’inscription dans un établissement d’enseignement à l’étranger, 78 % des services publics peuvent désormais être remplis en ligne et nous faciliter la vie. Cela doit aller de pair avec une identité électronique qui fonctionne partout en Europe, tout en protégeant les données de l’utilisateur »
Si tu fais chier le gvt, pouf, tu perds tout en 2 clics.
Comme l’utilisation des e-ID dans le cadre du règlement de l’eIDAS est ouverte au secteur privé, les entreprises pourront également bénéficier de cette reconnaissance électronique transfrontalière de l’identification numérique. Suite à la consultation publique de la Commission Européenne, les réponses sont globalement positives, avec tout de même certaines mises en garde.
Et en plus, tu donnes toutes tes données en pâture au privé, histoire de bien boucler la boucle.
« L’assistance apportée quotidiennement aux citoyens européens victimes de vol d’identité est une réalité et personne n’est à l’abri de ce phénomène, devenu menaçant en raison des multiples identifiants considérés comme des identités numériques et, le plus souvent, en raison des affaires fournies et récupérées par le GAFA ».
Globalement, le projet pourrait représenter une avancée très positive pour l’UE. Néanmoins, il y aura besoin d’une législation claire et stricte car ce dernier pourrait également susciter beaucoup de réticences et de craintes concernant la surveillance de masse, les fuites de données, la revente, les cyber-attaques, etc., à juste titre.
Au moins, il est honnête dans son analyse.
Va falloir naviguer sans js, sans css et sans html... euh, wait !?
Le blog de Shaft avec plein de trucs interessants dedans !
Toutes ces solutions partent du principe que les entreprises de technologie détiennent la clé du problème, que leur domination sur l’Internet est un fait permanent. Les propositions visant à remplacer les géants de la tech par un Internet plus diversifié et pluraliste sont introuvables. Pire encore : les « solutions » proposées aujourd’hui exigent que les grandes entreprises technologiques restent grandes, car seules les très grandes peuvent se permettre de mettre en œuvre les systèmes exigés par ces lois.
Il est essentiel de savoir à quoi nous voulons que notre technologie ressemble si nous voulons nous sortir de ce pétrin. Aujourd’hui, nous sommes à un carrefour où nous essayons de déterminer si nous voulons réparer les géants de la tech qui dominent notre Internet, ou si nous voulons réparer Internet lui-même en le libérant de l’emprise de ces géants. Nous ne pouvons pas faire les deux, donc nous devons choisir.
Je veux que nous choisissions judicieusement. Dompter les géants de la tech est essentiel pour réparer Internet et, pour cela, nous avons besoin d’une action militante pour nos droits numériques.
An attempt to answer the age old interview question "What happens when you type google.com into your browser and press enter?" - alex/what-happens-when
L'anonymisation sur internet, cette bonne blague...