J'ai besoin d'intimité. Non pas parce que mes actions sont douteuses, mais parce que votre jugement et vos intentions le sont.
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Hallucinant !
À la stasis, c'était vraiment des petits joueurs...
En réponse @Timo : autant je suis d'accord quand tu dénonces la façon dont les merdias décrivent les accidents, autant concernant l'article auquel tu fais référence, je trouve qu'il n'y a rien de choquant et que ça devrait être généralisé à l'ensemble du territoire :
Certes, les automobilistes ne font pas souvent attention aux deux roues, mais il y a aussi certains cyclistes qui se croient tous seuls sur la voie publique et qui grillent allégrement les feux rouges comme si rien ne pouvait leur arriver. Ils ne ralentissent pas et t'insultent si tu leur fais remarquer qu'ils auraient dû s'arrêter (vécus plusieurs fois).
Deux exemples que je vois trop souvent :
1) Les feux grillés
Je suis 90% du temps à vélo mais je suis aussi automobiliste parfois. Et il y a une quinzaine de jour, j'ai manqué de renverser un cycliste : j'étais à un feu rouge, première voiture arrêtée, devant un croisement que je sais accidentogène car je vois très, très, très (très) souvent des vélos griller systématiquement le feu dans le sens de la circulation ou en sens inverse ! Je ne démarre pas en trombe et je fais extrêmement attention surtout à ce feu. Et bien m'en à pris car une fois la première enclenchée et la voiture commençant à pénétrer le carrefour, un vélo a surgit de ma gauche. J'ai eu juste le temps de freiner et pour ne pas être percuté (vu qu'il n'avait pas de frein), le vélo s'est déporté et est revenu sur ses pas.
Autant te dire que je lui ai dit le reste...
2) les vélos sur les trottoirs
C'est ultra dangereux pour les piétons, les vélos pouvant aller relativement vite.
Mais à la décharge des cyclistes, la confusion est entretenue par les équipes municipales chargées de la voirie.
Bien souvent, plutôt que de créer une vraie piste cyclable, la mairie préfère peindre une pauvre bande pour signifier que les vélos peuvent y rouler. Certains prennent ça pour argent comptant et roulent du coup sur n'importe quel trottoir.
Pour ma part, je me refuse à les emprunter car c'est trop dangereux pour les piétons.
Une mamie (valable aussi pour les papis, les marmots, les gens quoi...) qui sort de chez elle peut facilement être percutée par un vélo lancé à vive allure en pleine descente.
La politique actuelle est hypocrite à souhait à tous les niveaux : on nous incite à prendre le vélo ou les transports en commun pour nous déplacer mais les infrastructures ne sont pas en adéquation avec ces modes de déplacements. J'en veux pour preuve :
En fait ça t'appartient sans t'appartenir vraiment puisque tout est stocké chez apple dans les nuages (iTunes Music Store qui n'est pas le disque dur du Mac mais bien celui des serveurs d'apple).
Donc apple fera ce qu'il veut des titres : refuser l'accès, suppression...
Ça s'apparente plus à de la location qu'à de la vente dans ses conditions. Le terme employé "achat" est mensongé si les articles sont repris. Il faudrait voir quel est l'intitulé employé sur les portails commerciaux...
Progressivement, insidieusement, l'exécutif se réapproprie de manière détournée et non directe le pouvoir judiciaire, en transmettant à des privés ou des organismes d'état ce qui normalement devrait être l'affaire des juges. On fait machine arrière pour en revenir au moyen âge. De là à ce que l'autre nabot se déclare de droit divin, il n'y a qu'un pas.
Oui, ils rêvent de revenir au minitel (ou au modèle centralisé de la télévision) qui permet censure et manipulation des foules. Un mouvement comme celui des gilets jaunes n'aurait jamais pu voir le jour avec le minitel ou la télévision des années 80 (pour laquelle le nuage de tchernobyl n'avait pas passé nos frontières).
Encore une fois, on utilise la sempiternelle recette du "méchant" (pédonaziterroriste haineux qui va venir violer les p'tites n'enfants , égorger durant le sommeil le bon écocitoyen de mon cul) pour faire passer une loi liberticide qui donnera encore plus de pouvoir à la dictature macronienne.
Jusque là tout va bien. Tout va bien, jusque là...
Il faudrait, au mieux, couper les couilles des connards de propriétaires des exploitations de canne à sucre et des médecins des cliniques dans lesquelles ont été réalisées les interventions et verser la totalité des bénéfices de ces exploitations aux ouvrières et ouvriers exploités dans les champs.
Mais je doute que cela arrive malheureusement...
Non seulement, on ne voyage plus incognito, mais en plus le coût de l'émission du billet et du travail nécessaire à la prise de réservation est déporté vers les cons-ommateurs qui doivent posséder un ordinateur et une connexion internet. Cela permet en outre de ne plus employer d'agents en gare.
Pour une gare où il y anormalement 10 guichets, seulement 1 à 2 sont ouverts. Les files d'attente sont alors interminables, ce qui fait que les cons-ommateurs se tournent vers la facilité et achètent donc des e-billets. Cela explique les 89% de vente comme mentionné dans l'article.
Le même phénomène a lieu dans les supermarchés avec les caisses automatiques où les cons-ommateurs se transforment en caissières gratuitement, grâce aux caisses "automatiques". Le coût du travail des caissières est déporté sur le con-sommateur. Plus de salaire à verser. Plus d'assurance à prendre. Plus de cotisations sociales à verser. Plus de risque de grève. Mais toujours les mêmes files d'attente...
Comme dirait Georges : "Monde de merde".
Sont ainsi librement accessibles : le nom, le ou les prénoms et le lieu de vote de chaque électeur ayant apporté son soutien. (...)
Cette liste sera consultable durant toute la période de recueil des soutiens (soit jusqu’au 12 mars 2020) et même au-delà, le temps que le Conseil constitutionnel rende sa décision arrêtant le nombre de soutiens définitivement exprimés en faveur de la proposition de loi référendaire. Les noms des électeurs seront accessibles jusqu’à dix jours après cette décision, puis détruits dans les deux mois.
Les données que collecte Google.
Ainsi, au moment même où les industriels démantèlent le système de la consigne, s’exonérant des coûts de retraitement, et prennent des décisions structurellement antiécologiques, ils en appellent à la responsabilisation écologique des consommateurs. Un cas typique de double morale, où l’on proclame une norme valant pour tous sauf pour soi. Responsabiliser les autres pour mieux se déresponsabiliser soi-même.
C’est le nombre officiel de personnes « mortes dans la rue » en 2018. Le chiffre, impressionnant, est néanmoins très en deçà de la réalité. Des personnes ou personne ?
Le 2 avril, dans un parc parisien, on rendait un hommage public aux 566 morts de la rue en 2018. 566 noms égrainés par des récitants, c’est long, très long. Certains sont anonymes : « Femme de 41 ans », d’autres sont simplement un pseudo : « Jojo, l’ours ».Peu de monde, peu d’élus pour assister à cette triste litanie qui nous rappelle le cuisant échec des politiques sociales en direction des sans domicile fixe. C’est long, 566 noms, mais il y en a en réalité beaucoup plus. Pour cet hommage, seuls les « morts dans la rue » sont recensés. Pas ceux décédés à l’hôpital ou dans un hébergement provisoire par exemple. Par ailleurs, beaucoup de maires de province ne déclarent pas les morts de la rue pour ne pas nuire à l’image de leur belle ville. Lorsqu’on croise ce chiffre avec ceux de l’Institut de veille sanitaire et de l’Inserm, on obtient pour l’année 2015 le chiffre ahurissant de 6 730 morts de personnes sans domicile fixe. Soit dix fois plus que l’estimation relayée dans la presse. Ce 2 avril, des affichettes rappelaient aussi que si la moyenne d’âge de la mortalité en France se situe aux alentours de 82 ans, elle est de 48 ans pour les SDF.
Les femmes et les hommes de la rue appartiennent à ces catégories de gens que l’on aimerait ne plus croiser, un peu comme les personnes très âgées, planquées dans des institutions. Ils sont aussi, depuis les promesses de Sarkozy — zéro SDF dans deux ans —, un enjeu pour les politiques qui sont jugés sur leur capacité à gérer la grande misère. Alors, depuis quelques années, ce qui ressemblait à de l’artisanat de l’aide sociale confié à de multiples petites associations et bénévoles est devenu une « sorte d’industrie », comme me le confie Charly, ancien SDF et militant du collectif Les Morts de la rue. « On sait que l’on est la matière première et le gagne-pain de cinq ou six grosses boîtes qui gèrent l’aide quotidienne, les maraudes, les foyers d’hébergement, l’accès aux soins, l’accès aux droits ; des boîtes qui ont racheté progressivement toutes les petites associations, qui grossissent et se font de la concurrence. C’est que la soupe doit être bonne », conclut Charly. Au fil du temps, ces énormes groupes du social ont imposé leurs normes et leurs exigences pour « faciliter » la gestion dela misère. Ainsi dans ce centre d’accueil de Bastille géré par le Secours catholique, il faut prouver sa présence à Paris depuis trois mois en fournissant des justificatifs (on se demande lesquels quand on dort dans la rue) pour obtenir un rendez-vous. Ici, le SDF doit impérativement arriver entre 18h45 et 19 heures sinon les portes se ferment et il passe la nuit dehors. Dans cet autre à Aubervilliers, comme dans beaucoup de foyers qui ont créé leurs propres règles de vie, il faut se lever à 6 heures pour être à la rue à 6h45. L’hébergement, c’est la nuit ! Pas le jour. Charly connaît des centaines d’anecdotes sur ce pouvoir que prend l’institution sur la personne dépendante d’elle. Un peu comme si la société se vengeait des SDF en les punissant par mille petites obligations et mille petits tracas créant souvent des situations de concurrence entre les gens à la rue et entraînant des conflits.
Chacun a pris conscience, ces dernières années, que le basculement de la vie ordinaire à la rue tenait à peu de choses. Une séparation, une maladie invalidante, une perte d’emploi, l’accumulation de dettes. La vieille image du clochard mi-bohème mi-artiste a fait long feu. Certes les SDF sont souvent des femmes et des hommes abîmés par la vie, et souvent dès leur enfance, mais ils ne demandent guère plus que la dignité et le respect. D’être autre chose qu’une statistique morbide, un enjeu pour Macron (ne laisser personne dans la rue) ou la matière première des nouvelles usines du social.
Dans le Siné Mensuel de mai 2019.
Autant pour la PMA, ça me semble être une question d'égalité, autant pour la GPA, c'est plus compliqué et il faut absolument un cadre très strict qui réglementerait cette pratique.
À la fois pour protéger la mère porteuse (et éviter que cela devienne un "métier" ou un esclavage déguisé), mais aussi pour l'enfant (doit-il connaître sa mère biologique en cas de maladie génétique par exemple ou tout simplement pour sa construction personnelle ?) et pour la famille adoptive (droits vis à vis de l'enfant par rapport à la mère biologique...).
Ça ne peut pas être décidé juste par un sondage et sous la pression. Il faut une réflexion profonde et argumentée pour décider de sa mise en place (ou non). Dans l'intérêt de tous.
Quand vous achetez un produit, il est obligatoire que ses caractéristiques techniques ne changent pas entre la commande et la réception du produit. Ici, vous choisissez sur le menu une pizza à la tomate et une fois la commande passée, le serveur fait ce qu’il veut. Il vous livre une quiche au fromage ou une pizza miniature. De quel choix disposons nous alors réellement ?
Et encore, il a de la chance d'être journaliste. Un manifestant lambda n'aura pas cette carte à jouer.
C'est moi ou on commence à entendre des bruits de bottes ???