J'ai besoin d'intimité. Non pas parce que mes actions sont douteuses, mais parce que votre jugement et vos intentions le sont.
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Quid aussi de la survivance des données ?
Qui me dit qu'elles ne seront pas altérées ou modifiées au cours du temps ? Doit-on avoir des sites miroirs pour pouvoir vérifier qu'il n'y a pas eu altération ? Qui aura la charge de la gestion de ces données ?
Le problème est que l'on est sûr de rien. Autant pour un livre, il peut être assez simple de montrer qu'un passage a été modifié par rapport à un livre édité précédemment, autant pour des données numériques, ça peut être très compliqué, voir impossible.
Et si les données sont chiffrées, elles ne seront pas exploitables pour des recherches ultérieures...
Tout cela me semble assez difficile voir impossible à mettre en place sereinement car celui qui détiendra la base de données sera le maître absolu.
Belle analyse d'une société de merde...
Alors que la France s’apprête à accueillir le Sommet mondial du Partenariat
pour un Gouvernement Ouvert, plusieurs associations pointent les
contradictions du gouvernement. Certaines ne s’y rendront pas.
Bilan du gouvernement ouvert à la française, co-signé par les associations et collectifs suivants : April,
BLOOM, DemocracyOS France, Fais ta loi, Framasoft, La Quadrature du Net, Ligue des Droits de
l’Homme, Regards Citoyens, République citoyenne, SavoirsCom1.
C'est la justice : faux ami de "ce qui est juste".
Selon Larousse, la justice de Droit, c'est la "Fonction souveraine de l'État consistant à trancher les litiges entre sujets de droit et à définir, sur le fondement des lois de la société, les comportements antisociaux".
Le pot de fer contre le pot de terre.
Il ne faut pas que l'état perde la face. Ça nuirait aux affaires (vente du savoir faire français en matière de "gestion" des manifestations).
Une piqûre de rappel. Ça ne fait pas de mal...
Elle est mignonne mais il l'a déboitée !
Il faut toujours prendre du recul, toujours. Et GuiGui en prend toujours.
C'est un peu (beaucoup) le problème de notre société de l'immédiateté, où rien n'est digéré vraiment (prémâché souvent) et recraché sans avoir pris le temps d'y goûter.
La critique de Bortzmeyer du livre de Tristan Nitot
Plutôt que de biaiser, de se cacher derrière la petite Wallonie, on aurait aimé que le gouvernement français porte le débat sur le CETA avec la même conviction et le même sérieux que l’ont fait les Wallons
Les marionnettes de l'hémicycle ne feront que ce qu'on leur demande. Il ne faut pas espérer plus, temps que l'on restera dans cette europe (avec un petit e, oui, car ce n'est pas une europe des peuples mais bien celle du capital).
Les panneaux publicitaires dans les gares ne sont pas qu'au sous-sol.
J'applaudis des deux mains l'action de ces déboulonneurs. Malheureusement, mon petit doigt me dit que la "Justice" ne leur donnera pas raison, ce serait trop beau.
À propos de l’œuvre
Cet ouvrage va à rebours de toute la mythologie véhiculée parle marketing génial de Microsoft. Il met en garde contre les dangers que nous fait courir ce Big Brother et contre les ambitions démesurées de Citizen Gates: le contrôle total surtoute forme de transmission et de traitement de l’information, aussi bien dans l’éducation que les transmissions bancaires, les vieux et les nouveaux médias, et jusque dans l’intimité de notre vie privée. Quel mélange de crétinisme technologique et de servilité intellectuelle fallait-il pour laisser Bill Gates bâtir en toute impunité une position de monopole absolu, en détruisant bon nombre d’entreprises dont les produits étaient de qualité supérieure? Comment a-t-il pu amasser une telle fortune en vendant des logiciels médiocres sans obligation de résultats et sans crainte de poursuites, à un coût unitaire quasi-nul et à un prix public qui ne baisse jamais? Comment est-il parvenu à piéger les consommateurs en kidnappant leurs informations dans un format propriétaire en constante remise en cause, qui les oblige à acheter tous les ans une mise à jour de toutes leurs applications pour pouvoir simplement continuer à lire leurs propres données? Comment a-t-il piégé les compétiteurs, en introduisant des variations arbitraires dans le seul but de ne pas permettre aux produits qu’ils développent de fonctionner correctement? Comment a-t-il usé de l’intimidation auprès des distributeurs et de l’intoxication auprès des médias pour se présenter comme le chevalier blanc de la démocratisation du savoir alors qu’il organisait méthodiquement la servitude de tous?
Au moment où la France s’apprête, comme nombre de pays voisins (Microsoft a déjà acquis le contrôle total de l’informatique dans l’éducation suisse), à céder au chant des sirènes de Microsoft, alors que l’Amérique elle-même combat par tous les moyens légaux la boulimie de son ogre national, un tel cri d’alarme tombe à point nommé. Il existe des alternatives technologiques viables à l’hégémonie de Microsoft : les défenseurs du logiciel libre, issus pour la plupart de la communauté scientifique, se regroupent en association pour plaider la cause de cette voie, qui permettrait à la fois de diminuer la dépendance européenne et de rapatrier en Europe les emplois que notre complaisance à l’égard de Microsoft financent aujourd’hui de l’autre côté de l’Atlantique. La France est en retard, plaident les esprits chagrins ? Justement, expliquent les auteurs, le retard français est notre meilleur atout : nous avons certes raté un train, mais c’est celui qui est en train de dérailler !
À lire donc !
Comment elle disait Laguiller : "On vous ment, on vous spolie". Et on se moquait d'elle...
Ou comment la vie des citoyens se monnaye.
Si ça bousille des vies, on s'en fout temps que ça ne touche pas trop au capital. Si ça coute de l'argent, on réagit.
Monde de merde.